L’effondrement scolaire favorise l’extrémisme, le fanatisme, la violence (pour Figaro Vox)

Le ministre de l’Education national, M. Gabriel Attal, vient de tirer la sonnette d’alarme en des termes prudents lors d’une interview au journal le Parisien : « Les résultats ne sont pas satisfaisants et sont même… plutôt inquiétants ». Selon le ministre, « un peu plus de la moitié des élèves [en quatrième] ne lisent pas convenablement et en mathématiques, plus de la moitié ne maîtrisent pas la résolution de problèmes et la géométrie. » Le constat n’a certes rien de nouveau. Un an auparavant, celui de son prédécesseur M. Pap N’Diaye était exactement le même, en des termes plus musclés : « Disons le clairement, le niveau d’ensemble baisse » (22 décembre 2022).

D’ailleurs, selon une étude du ministère de l’Eduction nationale : « En 2021[sur une même dictée] les élèves font en moyenne 19,4 erreurs contre 18 en 2015, 14,7 en 2007 et 10,7 en 1987. La baisse des résultats continue de concerner l’ensemble des élèves, quels que soient leur sexe et leur âge […] C’est l’orthographe grammaticale (règles d’accord entre le sujet et le verbe, accords dans le groupe nominal, accords du participe passé) qui demeure la source principale de difficultés. »

Il corrobore de nombreuses études internationales qui font état d’une chute spectaculaire du niveau scolaire français, dans quasiment toutes les matières. D’après le classement Timss de 2019, les élèves Français se classent derniers de l’Union européenne en mathématique et avant dernier dans l’OCDE (devant le Chili). Selon le classement PISA, les jeunes Français ne sont que 23ème en lecture et compréhension de texte. Enfin, en histoire-géographie, le naufrage est avéré : d’après l’Education nationale, le pourcentage des élèves de faible niveau est passé de 15 à 21% entre 2006 et 2012, et celui des élèves de niveau élevé de 10 à 6%.

Cette chute du niveau scolaire n’est pas, pour l’essentiel, une affaire de crédits. Un rapport de la Cour des comptes de décembre 2021 souligne que la France consacre 110 milliards € à l’Education nationale (hors enseignement supérieur). Les dépenses pour les élèves du 1er degré (élémentaire, primaire) ont augmenté de 210% par élèves en termes constant de 1980 à 2020 et de 65% pour le second degré. La France consacre 5,2% de son PIB à l’Education nationale contre 4,5% en Espagne, Allemagne, Japon, Italie (selon le même rapport).

Cette chute du niveau est le fruit d’un choix idéologique qui consiste à sacrifier la méritocratie et l’excellence au profit du nivellement par le bas et l’égalitarisme – une fausse égalité. Ce choix idéologique s’exprime à travers de multiples décisions prises depuis un demi-siècle. L’objectif de 80% d’une classe d’âge « au niveau bac » a amplifié la faillite scolaire en ouvrant la voie à une stratégie de rabaissement du niveau tournée vers sa réalisation. Elle se traduit aujourd’hui par la quasi-neutralisation du bac qu’obtiennent plus de 90% des candidats. L’invraisemblable réforme dite « Blanquer » supprimant les séries (littéraires, scientifiques, etc.) et achevant de neutraliser le bac par le « contrôle continu » a été un pas supplémentaire dans la voie du nivellement par le bas.

D’autres décisions emblématiques ont montré la voie de la course à la médiocrité au prétexte d’égalitarisme : la suppression du concours d’entrée à Science po ou des épreuves de culture générale aux concours administratifs. Elle s’est traduite par le triomphe de la démagogie consistant à dévaloriser les enseignements considérés comme fastidieux, à l’image de l’orthographe, la grammaire et les mathématiques… Pourtant fondamentaux.

Cette course à la médiocrité procède d’un dessein de long terme du pouvoir politique, sans doute implicite, peut-être inconscient mais réel, consistant à forger une société d’individus aisément manipulables. L’incapacité à lire, à écrire et à compter, l’affaiblissement de la curiosité intellectuelle, de la passion des livres, ouvre la voie à la soumission et au triomphe de la propagande. Il est plus facile d’influencer et de faire marcher au pas des femmes et des hommes sans racines intellectuelles, privés des repères de la littérature, de l’histoire et de la philosophie ou de la connaissance scientifique. Cette course à la médiocrité explique sans doute aussi la poussée des extrémismes en politique, le triomphe des aboyeurs au détriment de la raison collective.  Le déclin scolaire, en entraînant celui de l’esprit critique et de la pensée ou de la capacité à s’exprimer, prépare le clonage d’une société servile, soumise aux idolâtries et à toutes sortes de fanatismes et de violences telles le fascisme, le communisme, l’islamisme ou le wokisme. Pour changer de cap, il faudrait un véritable bouleversement intellectuel autour de la réhabilitation de l’excellence plutôt que des coups de menton aussi vains que répétitifs.

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A propos maximetandonnet

Ancien conseiller à la Présidence de la République, auteur de plusieurs essais, passionné d'histoire...
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67 commentaires pour L’effondrement scolaire favorise l’extrémisme, le fanatisme, la violence (pour Figaro Vox)

  1. DELIAC PHILIPPE dit :

    Alors ça c’est très bien vu! Bien cordialement.  Ph. Deliac

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  2. Raymond dit :

    FIAT LUX !

    Bonjour à toutes et à tous,
    Bonjour monsieur,

    Pour que l’un croisse, il faut que l’autre décroisse !?
    Le phénomène, que nous classons, peut-être rapidement, ou par inadvertance, dans le tiroir ☆effondrement scolaire ☆ pourrait, éventuellement l’être plus précisément, dans celui de *mutation* ?!
    Nos 5.2, ne sont pas nuls en Français, beaucoup le zappent et communiquent dans un nouveau langage. Pas plus, que l’apprentissage de l’histoire/géo ne touche leur intérêt ? Ce n’est, tout simplement, pas la leur.
    La loi du nombre, reste leurs seule compréhension mathématique. Bref !
    D’abord accompagnés par la malhonnêteté, épisode Paillon & les catho., et l’intérêt, puis dernièrement par la peur, le code et la norme à changé. Point
    Concrètement, ce que vous nommez  » fanatisme et violence  » synthétise, rien de moins que la montée du culte de la force et de la culture de la domination, (digne des meilleurs moments de notre Histoire), et caractérise, finalement, que la prise de pouvoir d’une communauté sur une autre ¿¡¿
    Nous pouvons chaque jour, observer ce mouvement de roque.
    Nombreux sont ceux, qui comme vous interpellent sur la situation et donnent, comme Thibault De Montbrial quelques perspectives bienfaitrices sur les causes que nous déplorons tous régulièrement, ….

    https://www.bvoltaire.fr/linvite-nous-sommes-au-bord-dun-vrai-risque-daffrontement/

    …, il semble, que tout le monde puisse maintenant, entendre, que l’écho des pavés de notre bonne vieille république laïque soit, tranquillement, en train de s’habiller, en plus des hypnotiques et létales sérénades, de nos braves seigneurs de la D.culture et de la D.sacralisation, d’une raisonnance (discordante) qui cherche à couvrir Marianne d’un nouvel apparat et à transformer notre environnement.
    Sauf les sourds, ça va de soit •••▪︎

    À suivre,
    Cordialement

    FACTA EST LUX !
    STOP OU ENCORE ?

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  3. there dit :

    Oui pour faire repartir la belle machine que nous avions il nous faut une véritable conversion . Pour l instant la première étape : la sortie du déni est bien engagée; c est une excellente chose car pas de progrès possible sans prise de conscience largement partagée. Alors le fond enfin touché peut être les personnes accepteront : qui d éduquer leurs enfants, qui de transmettre du solide aux enfants, qui de suer pour apprendre.

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  4. Anonyme dit :

    l’égalitarisme est l’idéolgie de l’ éducation « nationale » Il faut refaire de la sélection!

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  5. schmittjclapostenet dit :

    bonjour,
    réintroduction de l’instruction civique
    utilisation des ordis au minimum
    réintroduction des livres et cahiers
    remise des téléphones portables dès l’entrée en classe et mise sous clé dans une armoire .
    remise des téléphones à la fin des cours
    absence non justifiée un avertissement
    à partir de 2 absences 4h de colle
    au dessus convocation chez le proviseur et exclusion temporaire .
    signature d’une charte demandant aux parents et aux élèves de respecter les enseignants
    dès le premier acte de harcèlement exclusion du collège ou lycée.
    enfin développer les postes de psychologues dans les établissements
    bonne journée à toutes et à tous

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    • Léo C dit :

      En Seine-St-Denis, ou 9.3, pour l’évoquer en langage vernaculaire, vous rencontreriez, je pense, quelques « réticences ».

      Il fallait serrer les boulons il y a 40 ans; désormais, il est trop tard.

      Nous savons comment cela finira.

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  6. charles902 dit :

    bonjour Monsieur Tandonnet,
    En ce qui concerne la baisse (l’effondrement?) du niveau à l’école (collège + lycée), tout ne vient pas de l’entrisme islamique mais cela sert l’ambition de cette religion du nihilisme. Pour fabriquer des crétins utiles, il faut d’abord en faire des … crétins.

    Ensuite, la mode de notre époque a permis l’introduction d’outils malfaisants car sous le contrôle de gens aux buts questionnables, les « influenceurs », sortes de sangsues cherchant à vivre de la bêtise des autres, parmi lesquels figurent les prêcheurs de la soumission à cette nouvelle doctrine politico religieuse: « fais ce que l’on te dit, Dieu s’occupera du reste ». Car dans la crétinisation en cours de notre jeunesse, tout est récupérable par les manipulateurs des cœurs et des cerveaux.

    Alors en terrorisant les profs (deux l’ont payé de leur vie récemment), les élèves et leurs parents, on arrive à dégrader tout ce qui faisait leurs valeurs et leurs forces, et à paupériser la pensée donc leur pouvoir de réagir. l’éducation nationale devient peu à peu une fabrique des crétins.

    Aujourd’hui la bateau de l’éducation n’a ni capitaine ni rameurs, et les pillards se réjouissent de le voir se diriger droit vers les récifs. La curée n’est plus lointaine.

    L’éducation nationale doit maintenant accepter de faire un constat réel de son état, ne plus accuser les profs de laxisme et arrêter de délivrer à des enfants sous doués le droit de s’accrocher tels des sangsues à des classes dont ils empêchent l’évolution favorable. Favoriser la sélection naturelle, base de l’évolution des espèces et appliquée à l’éducation en quelque sorte.

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  7. Léo C dit :

    Bonjour Mr Tandonnet, toutes et tous.

    Sans verser dans le complotisme, il est des vérités statistiques, factuelles et indiscutables qui contribuent à cet effondrement.

    https://www.bvoltaire.fr/larabe-deuxieme-langue-de-france-nouvel-indice-dun-grand-remplacement/

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  8. H. dit :

    Face aux immenses carences du système éducatif, des maires prennent des initiatives comme à Talmont-St Hilaire en Vendée : https:/ /www.bvoltaire.fr/en-vendee-le-maire-propose-luniforme-a-lecole-et-les-parents-votent-oui/
    Il semblerait que la principale opposition viennent d’une partie du corps enseignant. Curieux, non ?
    Je ne sais pas si cette initiative aura des retombées importantes mais je note que la participation a été importante (80%) et que le projet soumis aux habitants a été approuvé avec une majorité indubitable (56%).

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    • charlymesdoun dit :

      L’unirforme, pas plus d’ailleurs que l’abaya, n’est pas le problème principal de notre éduc nat; MT le dit fort bien dans son billet; il faut avant tout restaurer la discipline et la primauté du maître et pas de l’appprenant, les méthodes d’enseignement (de la lecture notamment), le nombre d’heures de cours en français et en maths, sans oublier l’histoire.

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  9. lugardon dit :

    Les ingrédients du malheur collectif et individuel :

    Le mensonge, la jalousie, l’égoïsme, l’injustice, la méchanceté, la rancune.

    Source: Père Jean-Jacques Fauconnet.

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  10. Gribouille dit :

    Sur la base d’éléments concrets sur le baccalauréat scientifique, montrons que l’idée selon laquelle la baisse du niveau serait exclusivement imputable à une augmentation artificielle de l’accès au baccalauréat est erronée.

    1) Sur le site de Daniel Duverney, on trouve le document suivant :

    Cliquer pour accéder à BaccalaureatS.pdf

    avec notamment deux graphiques intéressants (évolution du pourcentage d’une génération obtenant un baccalauréat scientifique, page 14 ; évolution des horaires de mathématiques en terminale scientifique, page 24).
    Voir aussi la conclusion de la partie 6, page 47, qui met plutôt en cause des idées « simple, voire simplistes » ayant guidé les réformes (en l’occurrence sur le rôle des mathématiques).

    On voit que le pic d’accès au bac scientifique se situe en 1995, avant de baisser légèrement par la suite (les données sont fournies jusqu’à 2008 seulement).

    2) Puisque vous citez Timms, on peut remarquer que cette série de tests est parfois appliquée pour tester les « advanced mathematics », c’est à dire les lycéens suivant un cursus scientifique.
    Cela a notamment été le cas en 1995 et en 2015, et permet de comparer.

    a) En 1995, les résultats de la France étaient excellents pour ces lycéens suivant un cursus scientifique : leur résultat est donné page 4 de ce document https://timssandpirls.bc.edu/timss1995i/TIMSSPDF/C_Hilite.pdf , et la proportion d’élèves testés est donnée page 35 du document suivant https://timssandpirls.bc.edu/timss1995i/database/UG3.pdf ).

    Les élèves français réussissaient alors nettement mieux que ceux des autres pays en mathématiques avancées, et avaient des résultats dans la moyenne en physique, alors même qu’une part plus importante de la population en âge d’aller au lycée était testée (en général).

    b) en 2015, ce n’était plus le cas :

    http://timssandpirls.bc.edu/timss2015/international-results/advanced/

    même si les résultats obtenus à ce test, pour les futurs scientifiques, ne justifient pas de jeter le manche après la cognée.

    3) Conclusion :
    – puisque l’augmentation de l’accès au baccalauréat scientifique, réalisé pour l’essentiel avant 1995, permettait malgré tout à la France de dominer très nettement le test Advanced Mathematics de 1995, ce n’est pas exclusivement la politique d’augmentation de l’accès au baccalauréat qui est responsable de la baisse de niveau à Timss Advanced observée entre 1995 et 2015.
    – Daniel Duverney donne une autre raison à la page 47 de son document : des idées simplistes sur la bonne manière d’enseigner la physique, et sur la place des mathématiques, dans le milieu des réformateurs pédagogiques.
    – on peut certainement aussi avancer une autre raison : des idées simplistes sur le coût de l’enseignement et les réformes d’organisation à mener, dans le milieu des énarques.

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  11. Gribouille dit :

    « Cette chute du niveau scolaire n’est pas, pour l’essentiel, une affaire de crédits. Un rapport de la Cour des comptes de décembre 2021 souligne que la France consacre 110 milliards € à l’Education nationale (hors enseignement supérieur). Les dépenses pour les élèves du 1er degré (élémentaire, primaire) ont augmenté de 210% par élèves en termes constant de 1980 à 2020 et de 65% pour le second degré. La France consacre 5,2% de son PIB à l’Education nationale contre 4,5% en Espagne, Allemagne, Japon, Italie (selon le même rapport). »

    J’ai rapidement parcouru le rapport de la Cour des comptes que vous citez, et j’en tire pour conclusion qu’on n’est pas sorti de l’auberge.

    Par exemple, les dignes magistrats de la Cour nous expliquent « qu’en dépit » des réformes, le niveau baisse. Alors que tout ceux qui s’intéressent vaguement au sujet savent que si le niveau baisse, c’est au contraire « à cause » des réformes (pour une part non négligeable).

    Ou encore, le passage sur les coûts. La comparaison avec d’autres pays de l’OCDE a pour but de faire croire qu’il y aurait plus de moyens en France que dans d’autres pays. Mais, comme je vous l’ai indiqué plus bas, ce n’est pas le cas, car le nombre d’élèves est plus élevé en France du fait d’une natalité plus souhaitable.
    En dépit de votre réponse assez ridicule sur le racisme (prenez-vous modèle sur la défausse de Mme Hidalgo, la tahitienne ?), ce passage du rapport est donc de nature à induire en erreur, et est signe soit d’un cynisme (à visées réformatices), soit d’un niveau…pas au niveau du rédacteur, et de ceux qui le reprennent.

    Quant à l’évolution des coûts, je ne sais pas ce qui s’est passé au primaire. Par contre, pour le secondaire, l’évolution des coûts par filière (https://rers.depp.education.fr/data/commun/RERS.pdf , page 367) montre que l’évolution du coût global pour le second degré vient en partie d’une modification de la répartition entre collège, secondaire professionnel et secondaire général. En effet, on a un coût plus élevé pour l’ensemble du secondaire que pour chacune de ces filières…
    En dehors de ce changement de réparation, l’évolution des coûts semble assez proche de celle du niveau de vie moyen sur la période selon l’Insee.

    Dire que les moyens ne seraient pas une part importante de la dégradation du niveau (avec également l’égalitarisme, comme vous l’indiquez), c’est se moquer du monde et vouloir poursuivre une politique néfaste.
    Si on s’intéresse un minimum au sujet, on sait par exemple que le redoublement a été combattu, pour des raisons de coûts, avec les conséquences qui en découlent, individuelles (sur l’élève qu’on laisse passer alors qu’il n’aura pas le niveau pour suivre) et collectives (perte d’homogénéité des classes, etc).

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    • charlymesdoun dit :

      Tout est dit ici, je cite: « Par exemple, les dignes magistrats de la Cour nous expliquent « qu’en dépit » des réformes, le niveau baisse. Alors que tout ceux qui s’intéressent vaguement au sujet savent que si le niveau baisse, c’est au contraire « à cause » des réformes (pour une part non négligeable). »! Ce qui serait interessant, c’est de savoir ce qu’en pense la cour des comptes de ces réformes!

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    • Pheldge dit :

      on oublie l’effet cumulatif que je résume lapidairement en : de même que des parents déresponsabilisés, et illettrés produiront des gamins encore plus crétins, des profs peu habiles -pour le dire gentiment – en formeront d’autres, encore moins doués, et ça sera pire pour la génération suivante.

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  12. lugardon dit :

    Quelques chiffres:

    Un enfant du primaire va à l’école 182 jours par an c’est à dire 1116 heures qui ne sont pas forcément 1116 de cours. Cet enfant du primaire passerait aussi plus ou moins 547 heures par an devant des écrans pas toujours éducatifs.

    Source: moteur de recherche google.

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    • francefougere dit :

      Cherchez les parents !

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    • lugardon dit :

      IL y en a encore quelques uns mais il y a beaucoup de familles monoparentales, beaucoup de familles séparées et un mode de vie qui fait que beaucoup de parents passent peu de temps avec leurs enfants. Le monde a beaucoup changé depuis mon enfance à la campagne.

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    • Pheldge dit :

      les parents ? ils sont devant la télé – Netflix pas TF1 – ou sur leur smartphone dès qu’ils ont une minute de libre, ne cherchez pas plus loin …

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