Pétition pour la tenue d’un référendum sur la fédéralisation de l’Union européenne.

Le Figaro de ce jour publie une pétition signée de 50 personnalités du monde politique et intellectuel, de tous les courants, demandant l’organisation d’un référendum sur les projets institutionnels en cours visant à fédéraliser l’Union européenne, c’est à dire l’émergence d’un pouvoir étatique central sur l’effacement des démocraties nationales (et j’ai l’honneur d’y voir associé mon nom). Le texte affirme qu’un tel bouleversement ne peut pas se faire sans le consentement du peuple dès lors que se joue son destin. En voici un bref extrait conclusif:

Pour ce qui nous concerne, nous refusons cette dérive. Nous pensons, dans le sillage du général de Gaulle, qu’un système fédéral post-démocratique est contraire au génie de l’Europe et de la France et à l’imaginaire collectif qui, depuis mare nostrum, produit du commun à partir de la diversité de ses nations et de leur culture propre. La déconnexion définitive entre les peuples et la machinerie européenne achèvera la déresponsabilisation des dirigeants nationaux et décuplera les réactions nationalistes, au risque de nous conduire au chaos.

Quelle que soit notre vision de la France et de l’Europe, et l’avis que l’on porte sur la réforme et les élargissements en préparation, nous devons exiger qu’un pareil saut qualitatif dans l’inconnu d’un système supranational, qui minore l’identité des peuples, l’existence des nations et l’expérience des États d’Europe, soit soumis au référendum.Il est urgent d’ouvrir le débat sur ce qui se prépare. Les élections de juin 2024 doivent être l’occasion de se prononcer en connaissance de cause sur le projet de fédéralisation en cours ainsi que sur les élargissements en vue.

Signataires : Arnaud Benedetti, rédacteur en chef de la « Revue politique et parlementaire » ; Stéphane Rozès, politologue ; Arnaud Montebourg, ancien ministre et entrepreneur ; Marcel Gauchet, philosophe et historien ; Michel Onfray, philosophe ; Jean-Éric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel ; Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel ; Marie-Françoise Bechtel, ancienne députée ; Anne-Marie Le Pourhiet, professeur émérite de droit public ; Xavier Driencourt, ancien ambassadeur ; Benjamin Morel, maître de conférences en droit public ; Pierre-André Taguieff, philosophe et historien des idées, CNRS ; Éric Anceau, historien ; Julien Aubert, Ancien député ; Jean-Yves Autexier, Ancien député ; André Bellon, Ancien président de la Commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale ; Florence Bergeaud-Blacker, Docteur en anthropologie, CNRS ;Marion Bierry, Metteuse en scène ; Guillaume Bigot, Politologue, éditorialiste ; Bernard Bourdin, Philosophe du politique et théologien ; Christophe Boutin, Professeur de droit public ; Gaël Brustier, Politologue et essayiste ; David Cayla, Économiste et essayiste ; François Cocq, Essayiste, auteur de « Alerte à la souveraineté européenne » ; Denis Collin, Philosophe ; David Desgouilles, Chroniqueur, romancier ; Jean Dufourcq, Stratégiste militaire ; Nicolas Dupont-Aignan, Député ; Frédéric Farah, Universitaire et économiste ; Philippe Grégoire, Agriculteur, co-président du SAMU social agricole ; Michel Guénaire, Avocat et écrivain ; Philippe Guibert, Ancien directeur du Service d’information du gouvernement ; Alexandre Jardin, Écrivain ; Alain Juillet, Ancien directeur du renseignement à la DGSE, Ancien haut responsable chargé de l’intelligence économique auprès du Premier ministre ; Catherine Kintzler, Philosophe, professeur des Universités honoraire ; Florence Kuntz, Ancienne députée européenne ;Georges Kuzmanovic, Analyste géopolitique, président de République souveraine ; Maire-Noëlle Lienneman, Ancienne sénatrice ; Jean-Claude Mailly, Ancien dirigeant syndical ; Jean-Philippe Mallé, Ancien député ; Jérôme Maucourant, Economiste ; Nicolas Meilhan, Entrepreneur ; Bruno Moysan, Musicologue ; Joachim Murat, Expert en industrie de défense et sécurité ; Olivier Petros, Ancien dirigeant dans l’industrie et la banque ; Céline Pina, Journaliste ; Bertrand Renouvin, Directeur de la revue Royaliste ; Jérôme Sainte-Marie, Sondeur et essayiste ; Jacques Sapir, Économiste ; Maxime Tandonnet, Essayiste, ancien haut fonctionnaire ; André Tiran, Professeur de sciences économiques émérite, ancien Président de l’Université Lyon.

MT

A propos maximetandonnet

Ancien conseiller à la Présidence de la République, auteur de plusieurs essais, passionné d'histoire...
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70 commentaires pour Pétition pour la tenue d’un référendum sur la fédéralisation de l’Union européenne.

  1. Raymond dit :

    BIEN VU ¿¡…

    Bonjour Monsieur,
    Bonjour à toutes et à tous,

    Vous aviez /avez raison, l’effondrement scolaire est cause de bien de tracas !
    Il semblerait, comme vous le répètez ici régulièrement, Alléluia !, que la lecture, (& avec elle la compréhension de texte), soit, à l’image du furoncle, une des plaies majeures qui titille (également), le derch’ de tous les prétendants au posage de séant en haut céans politique ?!

    《Quelle que soit notre vision de la France et de l’Europe, et l’avis que l’on porte sur la réforme et les élargissements en préparation, nous devons exiger qu’un pareil saut qualitatif dans l’inconnu d’un système supranational, qui minore l’identité des peuples, l’existence des nations et l’expérience des États d’Europe, soit soumis au référendum.Il est urgent d’ouvrir le débat sur ce qui se prépare. Les élections de juin 2024 doivent être l’occasion de se prononcer en connaissance de cause sur le projet de fédéralisation en cours ainsi que sur les élargissements en vue.》

    J’entends les bons & braves  Franchouillard faire aujourd’hui la morale et dire allez voter.
    Je vois aussi nos champions se frotter les mains et rester sourds…

    https://www.bvoltaire.fr/marion-marechal-francois-xavier-bellamy-et-jordan-bardella-passaient-leur-grand-oral/

    …, enfin, mis à part, parler de leur petit《MOI》, nada, rien,…, aucune allusion, même pas l’effort intellectuel d’un semblant d’illusion !
    Allez savoir pourquoi ? Peut-être, cela leur fait il peur et les dérange pour l’obtention de la rente ?… Bref
    S’il apparaît que votre papier soit le cadet de leur attention et de leur souci, il peut, comme Cadet Rousselle trouver un écho plus plus ➕️ chaleureux au sein du petit peuple des manants sans titre, (mais toutefois, très très contribuables par les pépettes et  parfois par le sang). Passons.

    C’est Monique, et certainement d’autres, qui vont être contrariés! L’union des droites, c’est dans les rêves du peuple de France, pas dans la tête, ni dans les intentions de tous les bonimenteurs qui courent derrière la rente !
    La seule véritable union est, malheureusement pour nous tous, dans l’abstention.
    Sinon, bien que mouches et taons tournicotent malignement et perturbent toutes saines compréhensions, je me suis procuré un nouveau sonotone & je veux bien le nom du《Sauveteur》providentiel.
    Voter 👌 OK, mais pour quel super intelligent Capitan Europa ?

    Une dernière chose, madame Gabrielle Cluzel, nous dit  « au delà de leurs divergences, le point commun qui unit nos trois candidats, ce soir, c’est celui-là : l’amour profond de cette belle France. »

    Je doute qu’elle ait omis le, « Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction. » de l’ami Saint-Ex.
    Toutefois, il est vrai que 68 millions d’âmes, peut-être plus encore, aiment, + que très profondément la France, mais pas pour les mêmes raisons. Certains la perçoivent comme une vache à traire, d’autres un loup à abattre. Plus rare, sont ceux qui y voient l’ancestral attelage qui a (systématiquement), fièrement traversé ténèbres de son Histoire.
    Globalement et rapidement, les deux premiers se cachent derrière l’état de droit, le dernier derrière l’état de devoir !
    Mais ! Ça aussi c’est un truc que nos champions ne parlent jamais.
    Merci de le faire ici •••▪︎

    Hu !
    Cordialement

    STRABISME DIVERGENT !
    STOP OU ENCORE ?

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  2. Élodie K. dit :

    Je me permets ce partage, si Monsieur Tandonnet veut bien : https://thefantastictree.wordpress.com/

    On ne dirait pas comme ça mais c’est en lien avec le sujet de cet article.

    Bonne journée

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  3. lugardon dit :

    Comme une bouteille qu’on jette à la mer avec un message dedans:

    https://www.temoignagechretien.fr/envie-de-rien/

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  4. Stanislas dit :

    Pas moyen de lire la tribune sans acheter le journal complet. Je ne lis plus les tutos des marrionnettistes..

    bon tant pis..

    Mon 1er commentaire était en mode « conformiste » , à savoir qu’une agence supranationale qui a dans ses locaux plus de lobbyistes des groupes internationaux privés qui pratiquent le mode de la tuerie sur les coûts et le vol du pillage régulier de la classe moyenne par des moyens forcément moraux et le bien des populations (CICE, CIR, subventions aux ventriloques papier pour nous abrutir, optimisation de la baisse d’impôts, de charges pour les plus riches etc..)

    L’UE, vecteur infectieux du business international uniquement, est gentiment aussi celui de la mise en place de la bonne vieille devise « donne moi ta montre, le business financier te donnera l’heure. » sur 10 millions de km2..

    Si on résonne en mode escrocpolitique genre macquisait, il faut fixer ses objectifs de réussite de l’UE d’uniformisation des pratiques, il faut surfer en permanence sur la base de la « stratégie de ‘l’évitement » « Il s’agit d’une réaction de fuite permettant de soulager rapidement et temporairement un état ou une situation désagréable« 

    L’UE est bien installée, mais des désaccords subsistent sur des points importants entre les ex frontières des abonnés à Bruxelles, car les frontières c’est surtout dans la tête des gens qu’elles subsistent) .

    L’idée vicieuse d’en haut, pourrait donc être de clamer une future « fédéralisation » déjà bien ancrée dans les faits par le droit, les normes et l’espace Schengen, afin que les différentes marques de factions politiques sur papier (gauche-droite, et extrèmes des deux côtés) , grâce au principe de l’évitement, puissent s’unir sur un « socle » minimum à maintenir……..bien avancé et ancré comme il l’est déjà..

    A part Asselineau et ses quelques supporters, la plupart des autres partis, dont l’épicerie familiale Le Pen et la NUPES ont réglé le problème génant pour les carrières, de la sortie depuis un bon moment.

    Bon!!! on ne me dispute pas, c’est juste une version non conformiste de l’UE et de la fin de l’histoire de France expliquée à mes petits enfants..

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  5. Eric dit :

    Bonjour Maxime,

    Etonnant, pour ne pas dire inquiétant, que vous ne soyez que 50 signataires et pas un seul député ou sénateur en activité parmi vous !?

    Un tel sujet, demander l’avis du peuple sur un changement fondamental de l’organisation politique du pays, aurait dû regrouper des centaines d’intellectuels et d’hommes politiques.

    Question subsidiaire : la France pourrait-elle vraiment être dissoute dans une fédération européenne sans consultation du peuple ? Je ne suis évidemment pas un expert en droit constitutionnel mais comment une telle révolution pourrait-elle ne pas être contraire à notre constitution ? Pouvez-vous nous éclairer sur ce point ?

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    • Eric, beaucoup n’ont pas voulu se mouiller par crainte pour leur belle image et frousse de passer pour « eurosceptique ». Sur le second point, oui, on n’est (hélas) pas obligé de faire un référendum pour changer la Constitution, il y a une voie parlementaire.
      MT

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    • Pheldge dit :

      le totalitarisme tient par la peur : dans le cas de l’europe -la minuscule est volontaire- surtout ne pas aller contre « le consensus », pour l’écologie et les théories réchauffistes, pour le covid et les vaxxins, pour les questions d’immigration, pour les questions de délinquance, de violence et leur traitement par la justice, pour les sujets sociétaux « woke » ? c’est pareil, on se couche, on se fait dessus de peur d’être étiqueté « méchant », mais c’est lamentable !

      Et après, on vient se plaindre des performances du RN ou de Reconquête qui eux, ont un peu plus de courage ?

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  6. Louis-Philippe ARSONNEAU dit :

    je souhaite un référendum sur l articulations des pays d Europe

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    • Pheldge dit :

      Macron vient de déclarer que l’Ukraine avait vocation à entrer dans l’UE, rassurez-vous il ne fera pas de référendum sur la question.

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  7. Charles Violette dit :

    Belle initiative, mais qui part du principe que nos dirigeants respecteraient la volonté populaire et les traités…

    Si un tel référendum avait finalement lieu, la machine de propagande mediatico politique se mettrait en marche à plein régime, en expliquant que c’est le fédéralisme ou le chaos (au choix, l’arrivée de l’extrême droite, la guerre mondiale, les pandémies, le réchauffement climatique, les nuées de criquets, etc… ).

    Les politiciens viendraient mentir aux français les yeux dans les yeux, devant des journalistes conscients du mensonge et appobateurs. Les opposants, dont les signataires de la tribune, auraient un peu la parole (il faut bien un semblant d’opposition) mais en rappellant leur liens évidents avec les fascistes, avec Poutine, – ou l’ennemi officiel du moment si ce n’est plus lui …

    Et si malgré tout c’était le non qui sortait, on revoterait l’année suivante jusqu’à ce que le oui gagne, il serait alors définitif, preuve de la volonté du peuple souverain que personne ne saurait contester…

    il n’est clairement plus temps de jouer avec les règles imposées par toute cette clique, sinon aucune chance de gagner, elles sont étudiées pour…

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  8. Jojo dit :

    Bonjour à tous,

    Il faut impérativement relire la conférence donnée à La Sorbonne, en 1882, par Ernest RENAN sur la question « Qu’est-ce qu’une Nation ». Très simple à charger sur google.

    https://books.google.com/books?id=vikCAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=inauthor:%22Ernest+Renan%22&hl=fr&newbks=1&newbks_redir=0&source=gb_mobile_search&sa=X&ved=2ahUKEwiYtYOl4dyFAxXt7AIHHYUUDjQQ6AF6BAgOEAM

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  9. Léo C dit :

    Recouvrer notre souveraineté, s’affranchir de la tutelle UE, en sortir, sortir de l’Euro, l’OTAN…

    En avons-nous les moyens ?

    J’ai sans doute une vision simpliste mais j’estime qu’il faut une certaine auto-suffisance et une franche solidité économique pour se le permettre.

    Ce pays continue de sombrer, nous serons peut-être bientôt lanterne rouge de l’UE, sa locomotive est l’Allemagne et l’a toujours été. quoi qu’on puisse en dire.

    Le rayonnement français des trente glorieuses est révolu.

    J’avais voté oui en 1992 pour Maastricht; je croyais à une Europe dans une communauté d’intérêts, une fédération d’états souverains.

    En 2005 j’ai rejeté Lisbonne car je commençais à entrevoir la suite, sans augurer du sort réservé à la voix du peuple.

    Frexit ? A quel prix ?

    Nous ne sommes ni la Suisse ni la Norvège.

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    • lugardon dit :

      J’ai voté non à Maastricht comme une forte majorité de votants de la commune du Lot-et-Garonne où je travaillais alors.

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  10. Monique dit :

    J’espère que vous avez tous apprécié le numéro de « la tête et les jambes », un président que se commet sur le terrain pour un match de foot ce n’est pas là que les Français l’attendaient…. et puis ce fut merveilleux, on a pu admirer l’énorme courage des joueurs soucieux à le laisser marquer un but, aux JO, il sautera dans la Seine et sans gilet de sauvetage avec dix médecins dont le seul boulot sera de se mouiller. C’était pour la bonne cause, il a dû remplacer au pied levé Mme Chirac pour l’opération pièces jaunes……… pour l’ Ukraine peut être ?

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  11. Monique dit :

    Bonsoir à tous,

    Seul F. Asselineau veut sortir de l’Europe et on sait qu’il ne représente que 1,5%, même MLP qui avait dans son programme d’antan le Frexit a changé d’avis depuis. Nous allons vers notre perte totale et nous n’aurons jamais de référendum, le petit président sait bien où se trouve son intérêt et ce n’est pas le nôtre. L’Europe est dirigée par une autre dictature de gauche qui ne dit pas son nom.

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    • charlymesdoun dit :

      Je n’ai jamais compris la différence entre un dictateur de gauche et de droite; Staline ou Hiller par exemple; les deux laissent des millions de morts derrière eux!

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    • Pheldge dit :

      c’est simple celui de gauche, il fait des choses pour le peuple, et c’est bien. Le « de droite » il est de droite, donc méchant.

      Combien de personnes de ma connaissance sont « de gauche » parce que « la gauche c’est bien », c’est moderne, c’est le progrès, pensent que Staline finalement a eu un « bilan globalement positif » …

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  12. Eric dit :

    Bonjour Maxime,

    En effet, il serait même scandaleux que cela puisse se faire sans passer par un référendum !

    Sous réserve que, contrairement à 2005, cette fois le choix du peuple soit respecté !

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    • Gerard Bayon dit :

      J’avoue ne pas comprendre la candeur des personnes qui réclament un référendum alors qu’elles savent pertinemment que les gouvernements comme le nôtre ne les organiseront jamais puisqu’ils en connaissent par avance le résultat.

      La solution sera soit la révolte populaire européenne soit la soumission et la chute vers un régime politique européen de plus en plus autoritaire.

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    • Pheldge dit :

      Non, je pense que de nombreux politiciens ont tiré des conclusions de la pirouette 2005 -2008 : ça a coûté sa réélection à Sarkozy, alors ils seront plus prudents la prochaine fois, ils se méfient.

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  13. charles902 dit :

    Bonjour Monsieur Tandonnet

    je m’associe personnellement et totalement à vous et aux signataires de cette pétition.

    Mais, en me souvenant du peu de cas que l’on a fait du résultat d’un précédent referendum sur l’Europe, je doute que cette nouvelle initiative puisse déboucher sur autre chose qu’un simulacre démocratique, devenu l’Alpha et Omega de l’action politicienne selon la formule « dites nous ce dont vous avez besoin, nous vous dirons comment vous en passer »…

    très cordialement

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  14. Jojo dit :

    NON. J’espère que les peuples sauront dire NON !
    Mais la sauce qui leur sera vendue à cette occasion, de manière si «élégante» que beaucoup ne comprendront pas l’arnaque qui leur est tendue. Finalement on ne consulte le peuple que pour le flouer en douceur.

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