Non, non, non! Je ne suis pas un misanthrope aigri et pessimiste comme pourrait le laisser penser la tonalité de certains de mes billets. Je suis constamment à l’affût d’une lueur d’espoir, de renouveau. Le problème fondamental, selon moi, est celui de l’intérêt général, ou du bien commun. J’attends que la politique sorte de la posture, de la démagogie et de la manipulation, destinées à conserver ou à gagner des rentes de situation et des privilèges de vanité, pour retourner à l’essentiel: le service des citoyens. J’ai vu ces derniers jours une lueur d’espoir dans l’éclosion d’une génération nouvelle de personnalités politiques qui ont gagné les grandes régions de l’Ile-de-France, Rhône-Alpes et pays de Loire. Il se trouve que le les connais (un peu) tous les trois! Ils ont me semble-t-il envie de bien faire et de réussir, de sortir la politique de la course aux chimères, aux illusions, et aux mirages dans laquelle elle se trouve embarquée. Tous trois et d’autres, dans le même élan, devraient lancer un programme au service de la France, en faisant abstraction de ces malheureuses « primaires » et de la guerre d’ego des présidentielles. Un projet politique d’abord, sur une génération : assainissement et démocratisation des institutions, libération drastique de l’économie française de ses charges et de ses contraintes, autorité de l’Etat, décentralisation et libertés locales, refondation de l’Europe autour de la défense et de la protection des Européens, réhabilitation de l’Excellence dans l’éducation
nationale, ouverture de cette dernière sur l’économie et l’entreprise, etc. Je n’ai pas la moindre idée de ce qui sortira des présidentielles. Peut-être un bien, peut-être un mal. Cela tiendra à rien, un coup de bluff, une belle mise en scène médiatique. La véritable élection, aujourd’hui, ce sont les législatives, la représentation de la Nation, la future majorité de gouvernement. La nouvelle génération doit arriver au pouvoir avec un projet et avant tout, celui de la reconquête de l’intérêt général et deux mots clés: la vérité et la réalité.
Maxime TANDONNET
Maxime Tandonnet - Mon blog personnel 
Bonjour Maxime,
Je ne peux donner raison à ceux qui voient en vous un décliniste, plutôt qu’un analyste éclairé et attentif de la triste vie politique de notre pays.
L’espoir est réel et il ne s’inscrit pas qu’au travers les victoires électorales des régionales, même s’il s’agit là d’un signe prometteur.
Il existe une majorité silencieuse, celle qui rejette le retour de Bartolone sur le perchoir après une défaite, celle qui réprouve les manœuvres autoritaires chez les Républicains pour limiter le débat à une ligne dissidente de celle du président, celle qui ne se résigne pas à voter pour l’infâme et vide FN. Dans le lot je vois tous les jours des militants qui aspirent à faire entendre leur voix, mais qui peinent face à l’hermétisme de partis refusant le renouvellement pour préserver les rentes de ses « ténors ». Ce sont ces militants qui me donnent espoir, ils sont la promesse de l’aube, celle de l’aurore.
Les plus jeunes ont besoin de guides pour les accompagner et les aider à se faire connaître. Des élus, comme des personnes influentes ou initiés du moins, dont vous faites partis, peuvent contribuer à une nouvelle vague.
J’ai cherché à intégrer la campagne des régionales, en vain. La claque reçue par une opposition devenue molle et sans idée est une brèche dans laquelle je compte glisser un pied, avec l’espoir de permettre à d’autres de rentrer avec moi tutoyer les hautes sphères. La tâche est difficile mais nous sommes plusieurs à nous accrocher à là devise des scientifiques « ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait ».
Ne perdez pas espoir et continuez de nous régaler de votre plume.
Bien à vous,
Votre fidèle lecteur
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Xavierwiik, merci infiniment pour cet encouragement.
MT
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Bonsoir à tous,
Ceux qui me connaissent savent que je ne les trouve pas assez libéraux à mon goût et que la percée de Ciudadanos en Espagne devrait en faire réfléchir plus d’un tant ce sont les communistes de Podemos qui échouaient au pouvoir pour les mêmes raisons que le Syriza grec qui ont focalisé l’attention des médias.
Il n’empêche que dans ce contexte de tripartisme instable dans lequel la droite classique et parlementaire doit s’excuser d’être de droite alors qu’une analyse fine des derniers résultats électoraux démontrent qu’un candidat de centre droit (hors nouveauté qui n’aurait pas le temps d’émerger et de convaincre) sera vraisemblablement battu par le FN et François Hollande, un piège mortel se déploie sur la démocratie. Et j’ai le regret de dire que notre président actuel est bien plus que complice de cette manoeuvre.
Je suppose que Nicolas Sarkozy a bien conscience de ce piège qui essaie par tous les moyens y compris les pires compromissions intellectuelles de faire en sorte que le président sortant n’affronte que Marine Le Pen au second tour. Quelle terrible division des français et vision clientéliste via Terra Nova des élections légitimant, encourageant même, les propos racistes de Bartolone. Sarkozy a vidé NKM qui incarne l’entrisme du politiquement correct dont la visée est de tuer l’opposition raisonnable à la gauche au pouvoir. Mais qui l’a nommé? Surtout pour la récompenser de médiocre campagne à Paris (je reste poli).
On va tout droit vers un second tour en 2017 entre Hollande ayant tué toute concurrence crédible à sa gauche avec MLP surtout si la droite et le centre commettent la bêtise mortifère de présenter un candidat trop centriste. Je ne crois pas les sondages. Les têtes de listes UDI dans des régions réputées modérées ont sous-performé. Une primaire large ouverte au centre peut tendre à vote au centre droit. Juppé par exemple. Prenons les paris, s’il est désigné candidat, je prédis qu’il sera battu au premier tour. Voilà l’état inquiétant de la France ou la sagesse de ne pas s’agréger derrière un revenant…
Dans ce contexte je me félicite aussi de l’élection de gens qui semble avoir des convictions, qui semblent comprendre que la politique doit changer et vite. Même si je ne partage pas leurs avis, s’ils démontrent de la constance et de l’honnêteté intellectuelle, ils vont insuffler un vent nouveau du sang neuf et le vrai renouveau qu’on attend.
cordialement
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Duff, 2017 nous allons sûrement connaître une situation de ce genre.
MT
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@ Frederic_N :
« Encouragées par l’Union européenne, les régions sont devenues le cadre de référence pour la politique régionale européenne, visant à promouvoir le développement de territoires compétitifs tout en maintenant une cohésion » rapport de l’institut Thomas More.
De surcroît, vous savez pertinemment qu’un nombre de crédits de l’UE sont dans la main directe de l’Europe (les FEDER entre autres). Si pas de régions, pas de fonds structurels !
Pour le reste, un socialiste reste un socialiste, c-à-d un accroc à la dépense publique, voilà pourquoi la réforme ne fut pas complète (diminution des élus, du nombre d’agents territoriaux, etc.)
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« Le problème fondamental, selon moi, est celui de l’intérêt général, ou du bien commun. »
Le bien commun n’est pas l’intérêt général lequel pourrait supporter le sacrifice du plus faible.
Nombreux sont les hommes politiques qui parlent de l’intérêt général ce qui veut dire laisser quelqu’un sur le bord du chemin. Il vaut mieux viser le bien commun qui lui intègre tous.
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vu de mont, merci pour cette précision!
MT
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Bonjour,
Il vaut mieux suivre le point de vue des deux Maximes, sinon à quoi sert de ressasser la désespérance (Les allemands ont un mot bien connu pour commenter les posts qui pullulent : la schadenfreude)
Et concrètement, cela veut dire une chose : si jamais il vient à l’idée de certains à droite de tenter une logique de recomposition , il aura besoin qu’on l’aide. Et l’aider veut dire qu’on fasse une partie du boulot à leur place . .. Cessons de nous plaindre
@ François : je sais que Bruxelles a mauvaise presse ici, mais ce n’est pas une raison pour dire n’importe quoi. La réforme des régions est une non réforme, vous en êtes témoin comme moi. Elle n’est en aucun cas voulue par Bruxelles mais destinée à protéger les clientèles électorales de la gauche. Regardez un peu l’évolution du nombre de fonctionnaires municipaux et vous comprendrez l’enjeu : c’est du clientélisme pur et simple. D’ailleurs le nombre de fonctionnaires recommence à augmenter en France !
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FredericN, il n’y a qu’un seul « Maxime »…
MT
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Maxime,
Je cherche une lueur d’espoir, mais pas facile de la trouver, seul des hommes et des femmes de terrain peuvent changer ces sectes politicardes.
Le renouveau ne pourra venir qu’après un cataclysme. Même au niveau des conseils régionaux vous ne pouvez vous faire entendre. Quand je vois au niveau des départements des communautés de commune les magouilles, tripatouillages les combines avec les copains et les copines la corruption est de plus en plus présente. Tous ces élus qui jouent avec l’argent du contribuables sans rendre de compte c’est inadmissible. Pour les élus il faut en venir à la tolérance zéro avec prison à la clé. Un élu doit être une personne irréprochable, intègre, loyal comme l’était De Gaulle, Malraux, et bien d’autres
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Philippe, nous sommes d’accord…
MT
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Réponse à l’ensemble des commentaires, ou à leur tonalité générale: peut-on se contenter de désespérer, ne faut-il pas chercher partout ou on le peut des lueurs d’espoir dans l’avenir collectif, c’est-à-dire la politique au sens noble du terme? Maxime
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Mildred et Philippe expriment parfaitement notre sentiment de désespérance. Je n’en rajoute pas…
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Cher Maxime,
Aujourd’hui 21 décembre 2015 je pense à l’homme qui fit de la France un grand pays Le Général De Gaulle un vrai chef d’état un homme qui pensait à l’intérêt général et à celui de la nation. L’homme qui mena la France à son apogée, avant le déclin à partir de 1974. Vous dites dans votre papier « génération nouvelle de personnalités politiques » vous y croyez? moi pas. Pécresse, Wauquiez et Retailleau. qu’ont-ils fait dans le vie? Lorsque je vois leur CV je vois des gens qui ont passé leur temps à user leur fond de jupe et de culotte dans les salons feutrés des conseils d’état, des ministères et autres palais dorés où l’on est à mille milliards d’années lumières de la vraie vie.Ces dandys de salon n’ont jamais pris de risques jamais rien créé et ont vécu avec les deniers du contribuables. De Gaulle connaissait le travail, le terrain, des Malraux et autres grands hommes et femmes notamment Simone Veil. Je n’ai pas plus confiance en eux qu’aux autres. Quand on écoute le discours des trois on voit qu’ils sont dans un autre monde. Ils sont aussi crédible qu’une tenancière de maison close qui dit qu’elle est vierge.
Il nous faut une nouvelle génération de politiciens des gens qui sachent ce que veut dire « suer sang et eau », des gens qui font de la politique un sacerdoce et non un intérêt carriériste.
S’attacher à ce que le pouvoir politique soit fait uniquement d’énarques de polytechniciens, d’avocats, de professeurs c’est revenir au second empire. J’en ai marre de toute cette monarchie où rois, ducs, barons, ne pensent qu’à leur petits privilèges et à leur minable petite carrière.
C’est au Français de se réveiller et de mettre un coup pied dans la fourmilière et de nettoyer les « Ecuries d’Augias » que sont nos hémicycles et nos ministères.
Tous ces politicards d’opérette ne veulent pas que cela change même les jeunes car formés dans le même moule.Magouille et tripatouillage et défense d’intérêts particuliers.
Mais attention: “Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable.”
Je pense que Kennedy avait raison et que d’ici peut la France bougera.
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Maxime,
Qu’espérez-vous d’un parti qui rassemble en son sein des tendances aussi disparates que LR ? Quand vous déposez dans l’urne un bulletin, pour qui votez-vous ? Pour MM. Estrosi, Raffarin, Bertrand ou pour Wauquiez, Retailleau, Pécresse ?
Il est un sujet interdit et nous en avons eu une nouvelle fois la preuve aux dernières élections, c’est l’Europe, grande absente des récents débats électoraux. Pourquoi ces 13 régions si ce n’est pour complaire aux exigences de Bruxelles ? Qui à LR s’est insurgé contre ce nouveau découpage ? Alors, vous me rétorquerez que ces nouveaux « landers » sont des coquilles vides, sans grands pouvoirs. Le cadre général de la grande déconstruction est maintenant posé, il ne reste plus qu’à le remplir. Vous verrez que l’État, petit à petit, va se dessaisir de ses prérogatives, en catimini, comme lui-même l’a fait lors des débuts de la construction européenne.
Leur postulat est simple : nous n’avons pas le courage de réformer la France, alors supprimons la France de l’équation. Pas sûr que les Français soient d’accord, mais est-ce vraiment important pour eux ?
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Bonsoir a tous.
Maxime,avant le renouveau il y aura le chaos,inéluctable selon moi et
dans l’ordre des choses,et le plut tot sera le mieux.
Tout semble se mettre en place pour une probable réélection de FH.
La Droite aura explosée d’ici la,le FN sera au zénith,et le pays va peu
a peu devenir ingouvernable.
J’espère me tromper,mais j’ai beaucoup de mal a imaginer un
autre scénario,mon éternel pessimisme sans doute..
Sergio
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Bonsoir Maxime
Je me souviens de Wauquiez, alors secrétaire d’état à l’emploi, un soir à la télé pleurant toutes les larmes de son corps sur le sort des pauvres ouvriers de Total, obligés de déménager de la Normandie vers la Provence pour cause de fermeture de leur raffinerie.
C’est effectivement triste pour ces gens, mais M. Wauquiez avait quand même omis de préciser :
– que l’administration mutait des dizaines de milliers de personnes chaque année, d’un bout à l’autre de la France.
– que les mutations des cadres étaient fréquentes dans de nombreuses grandes entreprises
– que ces ouvriers étaient reclassés et non pas jetés au chômage, comme ceux des PME qui déposent le bilan grace au RSI créé par Xavier Bertrand
Là, je me suis dit : plus jamais ce clown.
J’ai un peu de mal avec les options et parcours politiques de Mme Pécresse et de M. Retailleau
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Cher Monsieur
Je partage la très grande majorité des opinions et analyses que nous proposez dans vos billets. Aujourd’hui, je viens simplement vous signaler une petite erreur. Vous avez cité le département de Loire Atlantique en lieu et place de la région Pays de la Loire.
Si vous pouviez corriger….
Bien à vous
Un lecteur attentif
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Bonsoir Maxime, bonsoir à tous,
J’adore lorsque l’on oublie les Pays de la Loire. Les médias bien sur qui n’en ont pas parlé dimanche dernier dans les premières heures qui suivaient 20 heures. Bruno Retailleau n’est pas très connu hors son département ou bien du Sénat puisqu’il est chef de file des LR de cette Institution. Il a fait beaucoup pour son département La Vendée. Bien sur il est des esprits chagrins qui écrivent qu’il a tué le père, mais sans chercher les raisons. Il n’était pas seul, d’autres Conseillers départementaux étaient à ses côtés: il y avait une raison qui n’était pas une bassesse politicienne. La région des Pays de la Loire comprend, Maxime certes la Loire-Atlantique de Monsieur Ayrault, mais également La Vendée, La Mayenne et la Sarthe. Donc cette semi-pénombre où les médias nous confinent va permettre à Bruno Retailleau de relever le défi d’apporter des transformations et des réformes qui devraient se faire sans vague dans notre région. J’assiste à ses interventions locales depuis quelques années, c’est un Homme de culture, convaincant, entraînant, avec les pieds qui touchent la terre du Bocage où il est né. Nous en reparlerons et je suis convaincu qu’il apportera beaucoup au delà de nos frontières régionales.
En élargissant le périmètre, les élections espagnoles dont on connait les premiers résultats à l’heure où je tape cette intervention, montre que les Espagnols font monter des jeunes qui ne trainent pas les gamelles des Politiques politiciens.
C’est sans doute cela ces gens que vous appelez de vos voeux depuis de nombreux mois.
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« Nicolas Sarkozy n’est pas seulement un combattant et un entraîneur, c’est aussi le rassembleur et le fédérateur d’un peuple exacerbé et d’une nation attachée à son histoire millénaire et à ses valeurs républicaines.
Vous savez, les grands périls de la France plaisent au grand courage de Nicolas Sarkozy. »
Jean d’Ormesson
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Bonsoir à toutes et à tous,
Moi aussi je place pour le moment un peu d’espoir dans cette nouvelle génération de politiques malheureusement formée par leurs ainés avec donc le risque de mimétisme après quelques mois de pouvoir et les pressions et pouvoir de nuisance des vieux politocards dont ils ne pourront pas se passer ni se séparer. Restons quand même modérément optimistes.
En tout cas ils ne sont pas prêts d’arriver bien vite au pouvoir tant ils vont trouver de peaux de bananes sous leurs pieds, placés par les vieux rancuniers et nostalgiques du pouvoir, par les médias et pseudos intellectuels au service exclusif de la gauche.
Par ailleurs vous dites que les véritables élections sont les législatives, alors là, permettez moi de ne pas partager votre avis tant qu’elles seront organisées comme actuellement. Que voit-on lors de ces élections ? que le parti dont est issu le président élu détient toujours la majorité ce qui représente une armée de « députés godillots » qui suivent aveuglement et sans discussion les ordres du 1er ministre sans parler de certains députés ou sénateurs qui ne rêvent que d’une chose : voir leur nom associé pour la postérité à une loi et pour cela qui sont prêts à toutes les compromissions ( j’en connais ! )
Ce n’est pas avec ce genre de personnages que nous ferons évoluer notre représentation nationale et ce n’est malheureusement pas demain que ces bons à rien disparaitront de notre représentation.
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Monsieur Tandonnet,
« L’espoir en politique » titrez-vous, mais vous savez très bien que l’espoir ne passera pas par la politique qu’on nous concocte en haut lieu. Vous dites : Pécresse, Wauquiez et Retailleau. dont vous êtes fier. Je vous réponds : Estrosi, Bertrand, qui nous font honte.
Autour de moi, j’entends des gens qui jurent leurs grands dieux qu’ils ne voteront plus. J’en entends d’autres qui veulent monter des comités prônant l’abstention. Voilà où nous ont mené trois ans de socialisme, doublés de tous les renoncements d’une droite incapable de représenter une opposition digne de ce nom.
Il vaut mieux le savoir plutôt que de continuer à se bercer d’illusions.
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Mon cher Maxime, je te crois inquiet, comme beaucoup d’autres, mais desépéré certainement pas.Il faut que les français comprennent que pour nos vielles badernes politiques peu importe d’être à droite ou à gauche pourvu qu’ils soient devant. Nous avons eu quelques « beaux » exemple du nord au sud ces derniers jours.
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