Pass sanitaire, un étrange silence

Chacun a bien sûr le droit d’être pour ou d’être contre le pass sanitaire mais il est difficile d’y être indifférent. Son caractère désormais obligatoire pour les actes de la vie courante comme se rendre dans un restaurant ou prendre le train bouleverse bel et bien l’ordre des choses.

Pour la première fois dans la France contemporaine, la nouvelle règle opère une discrimination (hors sanction pénale) entre des citoyens de plein droit et des citoyens privés de certains droits en rapport avec le quotidien, officialisant une forme d’exclusion. Elle viole de plein fouet les promesses réitérées des plus hauts personnages de l’Etat ayant formellement promis à maintes reprises que jamais (« jamais ») une telle mesure – discriminante – ne serait mise en œuvre. Elle procède d’un climat de peur soigneusement entretenu et dont les fondements sont plus que douteux (les victimes déclarées du covid19, en ce moment 45 par jour, sont 7 fois moins nombreuses que celles de l’alcool et du tabac: 323). Elle engendre un monde de contrôle numérique ou chacun se fait le gendarme de tout le monde. Elle sacrifie la liberté individuelle en soumettant nombre d’activités à la détention de ce pass. Son utilité dans la lutte contre l’épidémie est profondément contestable à l’image de l’interdiction aux personnes qui en sont démunies de fréquenter les terrasses en plein air. Elle déchire une fois de plus le pays et divise les Français en ravivant un climat de guerre civile.

Tout cela devrait passionner, que dis-je, fasciner les intellectuels français prompts à s’enflammer pour toute sorte de micro-polémiques. Or, nous assistons à un silence absolu des grands noms de la littérature, de la philosophie, des médias et autres maîtres-penseurs. Où sont passés les intellectuels? Il en est de même dans le champ politique. Les médias surexposent en ce moment une personnalité isolée et caricaturale (manière de discréditer une sensibilité). Mais pour le reste, les politiques supposés respectables se taisent ou se terrent face à un enjeu de société. Où sont passés les politiques? Leur silence semble d’ailleurs proportionnel à leur ambition: éviter de se compromettre.

Alors, comment expliquer cette démission du monde intellectuel comme du monde politique? D’abord, hélas par l’aveuglement, l’incompréhension de ce qui est en train de se passer: il ne suffit pas de se proclamer « intellectuel », d’être invité sur les plateau de télévision, de disposer de tribunes multiples pour être lucide. Ensuite, par l’opportunisme: attendre de voir comment tout cela va tourner avant de prendre position. De même, par le conformisme: puisque cela vient d’un pouvoir supposé « progressiste », ce ne peut être que bien (que ne dirait-on des mêmes décisions prises par un pouvoir « populiste » ou juste droitier!). Enfin, par une forme de lâcheté, la frousse d’être catalogué « antivax » la nouvelle formule de diabolisation désormais pire que populiste ou complotiste (et mensongère car on peut rejeter le pass discriminant et liberticide tout en étant favorable au vaccin sur une base éclairée et volontaire).

On sent bien que le pays bouge dans ses profondeurs et qu’une grave explosion se prépare. En revanche, une fois encore, les supposées élites, politiques et intellectuelles ou la France dite « d’en haut », censées représenter les Français et apporter un éclairage à l’opinion, sont aux abonnés absents et largement à côté de la plaque. Et quand elles se réveilleront, il sera trop tard.

Maxime TANDONNET

A propos maximetandonnet

Ancien conseiller à la Présidence de la République, auteur de plusieurs essais, passionné d'histoire...
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134 commentaires pour Pass sanitaire, un étrange silence

  1. joyst2 dit :

    Ou sont´ passés les syndicats également ?

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  2. Anonyme dit :

    J’aime beaucoup la métaphore « Elle viole de plein fouet … » une véritable scène de cinéma !

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  3. Djoumer dit :

    Bonjour
    Des éléments semblent échapper à cette analyse… en grande partie pleine bon sens…
    On ne s’exprime que lorsqu’on a une tribune…
    Les médias les plus vus et entendus, quoiqu’en disent les gik… restent les médias TV, radio et … de moins en moins… les journaux à large diffusion… financés en grande partie par nos impôts… le comble…
    Posons nous… à qui appartiennent ils en écrasante majorité ? … par conséquent, qui a la primeur des diffusions pro ou contestataires à grande échelle ? Qui donc forge l’opinion publique à force de répétition ? Que l’info soit tronquée ou non ???
    À méditer ?

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  4. Artrine dit :

    Bah, meme les medecins ne se prononsent plus.Et plutot c’est leur sujet.Ils ont ete subordone les premieres..sans obtenir au retour de la grace.C’ est mort pour l’ opinion public aussi puisque chacun doit se soumetre sinon la machine ecrasera les belle et bonnes personnes.Merci pour tous

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  5. there dit :

    Nouvelle du jour : des amis de mes parents vaccinés depuis 6 mois viennent d attraper le covid à un mariage ….. ma mère grande stressée du covid et vaccinée de la première heure à le trouillomètre à zéro : « ah ces anti vax , ce sont eux qui font circuler le virus  » ……. la propagande marche bien .

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    • Pheldge dit :

      la propagande n’a pas eu beaucoup de peine à convaincre une population qui attribue des pouvoirs magiques à tout ce qui est appelé vaccin : nous sommes au pays de Pasteur, et tous les écoliers connaissent l’histoire du vaccin contre la rage.

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  6. lehibou dit :

    @Maflor: La mode actuelle veut qu’on nomme un tel geste une carotte.

    En quoi serait-ce une mode actuelle? L’expression « pratiquer la politique de la carotte ou du bâton » est très populaire et doit probablement exister depuis des siècles.
    Si j’ai utilisé le mot « carotte », c’est qu’il est contenu dans l’article du site breizh-info où j’ai puisé mon information.
    Au demeurant, les ouvriers d’un abattoir sont en contact avec des animaux, et vous savez sûrement que le covid peut se transmettre d’un animal à un humain -zoonose est le nom qu’on donne à ce type de transmission- . Donc, mieux prévenir que guérir. Et au moins la direction de cet abattoir ne pratique pas la politique du bâton comme le fait de façon proprement sadique l’engeance macronienne avec les citoyens réfractaires.

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  7. Zonzon dit :

    Je suis un scientifique, je ne suis pas médecin ni dans les sciences de la la vie.
    Des raisons suffisantes pour ne pas intervenir dans le débat sur Madame Covid.

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    • cgn002 dit :

      Un scientifique normalement rompu à la résolution de problèmes complexes, peut apporter des éléments pertinents, car l » internet permet de trouver des sources très sérieuses, il ne reste plus qu à faire un tri et les bons recoupements, pour déjà établir une bonne évaluation du phénomène covid.
      Je suis d accord pour dire qu il est nécessaire d être un expert désintéressé (le maître mot) pour conduire aux meilleures décisions…
      Le politique est très probablement incapable de prendre une décision correcte, sans l’appui de scientifiques non soumis à des intérêts quelconques…
      A notre époque ne pas être impliqué dans des intérêts est juste inimaginable…
      Le politique peut desormais corrompre le pseudo scientifique…tout comme les médias…
      D où la durable gabegie de l époque…
      Et dans un régime dogmatique, tout le monde peut (doit!) comprendre qu il y a intérêt à se ranger du côté du dogme…
      Cqfd.
      Les sages ont une tare (pourtant saine), ils pensent que ceux qui ne le sont pas, rectifieront tôt ou tard…
      De Gaulle et Churchill avaient parfaitement compris…
      Le diable est coriace…!
      Tout comme nos biais ancestraux (plus ou moins bien contenus…)

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    • joyst2 dit :

      Zonzon. Le débat ne porte pas sur le vaccin mais sur le passe sanitaire

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  8. Philippe dit :

    Bonjour Maxime, bonjour à tous

    Réponse à cgn002
    Bonjour cgn002,
    je fais réponse à votre critique sur mes propos et vous me dites : « Où est votre bon sens, où est votre réalisme » Il est bien présent et j’entends vos arguments, donc je me permets de vous répondre et je fais preuve de réalisme.
    Vous m’avez tendu la perche en disant je cite : « il ne faudrait pas selon vous parler de pandémie; dites cela aux indiens et aux brésiliens !… »
    Concernant l’Inde je vais vous en parler. J’y ai vécu 24 mois pour raison professionnel. Le nombre de morts du Covid en chiffres officiels ce jour est de 428000 morts d’autres disent dix fois plus.
    Certes c’est beaucoup. Maintenant cgn002 savez-vous combien d’enfants meurent en Inde tous les ans ? Sachant qu’il naît en Inde 50 enfants par minute, il meurt 9 620 000 enfants par an et heureusement ce chiffre à baisser car en 2000 il en mourrait 11 000 000. Le covid à côté c’est rien. Pour moi des enfants qui meurent n’est pas acceptable et est-ce que BFM TV, TF 1 et autres en font leur gros titres NON ! Une personne de plus de 70 ans qui meurent du covid c’est triste, mais il a vécu mais un enfant, c’est encore moins acceptable, la logique veut qu’un enfant meurt après ses parents.
    De plus l’Inde est constituée de castes, certaines sont immensément riches et d’autres immensément pauvres. Depuis que les échographies existent en Inde les familles riches qui peuvent s’en payer font pour 88% d’entre elles, avorter leurs femmes si elles ont une fille. Ce qui fait qu’aujourd’hui les garçons ne pourront pas tous trouver d’épouses. Dans les familles pauvres des jeunes bébés filles sont tuées à la naissance. Ça c’est la réalité, c’est du réalisme. Sachez qu’en Inde ils sont 1 380 000 000 et le taux de mortalité du Covid est de 0.031%. Le taux de mortalité infantiles est de 37% des naissances et représente 29% de la mortalité infantile mondiale.
    Nous voyons les choses avec nos yeux d’occidentaux, notre hygiénisme à outrance. Notre refus de la mort, qui est pourtant une chose naturelle de la vie. Et attendez, le pire est à venir, car avec la fonte du permafrost, nous allons voir arriver des bactéries et des virus qui auront plusieurs milliers d’années, et qui seront sans doute mille fois plus mortels que le covid. Des scientifiques forcément complotistes ont déjà averti sur ce sujet.
    Pour ce qui est du Brésil, pays où mon frère a vécu 3 ans, (nous sommes des globes trotter), les cartels, tuent 160 personnes par jours soit 58400 assassinats par an. La drogue tue 360000 personnes par an. Total entre les assassinats et la drogue 418400 morts, plus que le covid. La Mortalité infantile là-bas aussi est élevé, elle est de 12% soit 3 389 000 enfants meurent chaque année.
    Cgn002 je ne suis pas fataliste, je vois les choses telles qu’elles sont et non pas telles que je voudrais qu’elles soient.
    Pourquoi ? En 2015 j’ai fait une chute de 6 mètres de haut avec réception sur la tête. Total traumatisme crânien avec perte de mémoire pendant 2 jours. Heureusement, pas une seule fracture, pas un bleu, rien. Je suis sorti au bout de trois jours de l’hôpital. Parallèlement j’ai perdu 4 proches du cancer dont un de 20 ans. Donc je profite de la vie, de chaque instant, de chaque minute. En opérations extérieurs lorsque j’étais dans l’armée, j’ai vu des choses innommables. Donc dans ma famille on profite de chaque instant et nous n’avons pas respecté les consignes ni pour Noël, ni pour le jour de l’an. Personne je dis bien personne, ne m’imposera, confinement, couvre feux etc. Je croque la vie à pleines dents. Je ne me pli pas à la folie covidesque de la peur et la terreur. La peur, la vraie peur je l’ai connu en opération.
    Ce n’est pas du fatalisme, mais du bon sens.
    Je vais souvent en Afrique équatoriale, là aussi des milliers de gens meurent d’autres choses que le covid, le taux de mortalité infantile y est aussi élevé et comme en Inde ou au Brésil de maladies bénignes, est-ce que les médias de propagande s’en offusquent non !
    Vous dîtes : « vous nous présentez des résultats du phénomène après traitement de l’épidémie pour le caractériser, …de la même manière que si rien n’était fait …(ou de la manière que vous souhaiteriez mais que l’on ne connaît pas).
    Dans ces pays le vaccin n’est pas encore appliqué, et le docteur et professeur Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar a dit lors d’une interview : « Je suis un scientifique, et le scientifique n’a pas d’états d’âme. Il se base sur des faits et prend ses responsabilités. En faisant mon travail je trouve des résultats éloquents et ils comptent davantage que les recommandations de l’OMS. Il utilise l’hydroxychloroquine, en association avec une autre molécule : l’azithromycine, et cela fonctionne. Ce n’est pas des fakes news, mais la réalité.
    Cgn002 je m’aperçois que le ministère de l’éducation du peuple et de la propagande vous influence grandement.

    Je ne vois pas les choses de manière erronées, je suis curieux de nature et je ne me suis jamais contenté de la propagande journalistique qui est devenue partiale et n’accepte plus le débat. Vous, comme Maxime, comme nous tous sur ce blog, comme Macon, comme les scientifiques et médecins de plateaux ne possédons pas et posséderons jamais, l’unique et seul vérité. Une société démocratique ne peut évoluer que par le débat, le débat contradictoire. Je fais beaucoup de recherche, lorsque je vais en Inde, en Afrique pour former les stagiaires, je n’y vais pas avec l’arrogance de dire que nous avons le meilleur mode de vie, la vérité absolue. J’écoute, j’étudie, je regarde, j’apprends. Le sage, ce n’est pas celui qui sait, ni celui qui croit savoir, c’est celui qui cherche toujours à savoir et se remet en permanence en question. Depuis le début de cette épidémie, j’ai eu confirmation que les crétins sont pleins de certitudes et les gens de bons sens pleins de doute. Et c’est le doute qui vous fait évoluer et garder votre libre arbitre et votre esprit critique. Mais il faut toujours voir les choses comme elles sont.
    Il n’est pas question de dire que le covid est une grippette ce n’est pas le cas. Rappelez-vous de cette article que j’avais partagé ou un médecin de 85 ans disait : « Le rôle des médecins, des scientifiques, des épidémiologistes, c’est la recherche de solutions, d’essayer des traitements, de voir ce qui est efficace ou pas. D’être prudent, mais aussi franc avec les patients. La certitude ne fait pas partie du monde médical.
    Lorsque je vois tous ces médecins, scientifiques et autres semer la crainte, la peur, faire de la surenchère, donner des prévisions fantaisistes, pour moi ce sont des criminels. Ils donnent dans l’éructation existentialiste. Nous assistons à une bataille d’égos qui déshonore la profession médicale, ils ont tous des certitudes, ils ont l’arrogance de croire qu’ils ont l’unique solution.
    Les médecins, professeurs, scientifiques faisant preuve de discernement sont immédiatement traités de complotiste.
    J’ai appris une chose dans ma carrière médicale, l’incertitude est aussi dangereuse que la certitude.
    Mal gérée l’incertitude en médecine a des conséquences néfastes pour le patient et ou le praticien.
    Quant à la certitude en médecine, elle s’accroche à l’établissement d’un diagnostic prétendu fondé sur le dépassement d’une casuistique trop individualiste, trop centrée sur de l’humanitarisme. Ces experts que l’on voit à la télévision tous les jours doivent admettre que dans des domaines où leur savoir, leur bon sens, leurs convictions inébranlables auraient dû fonctionner à merveille, ils n’ont au contraire pas donné les fruits souhaités. Malgré le progrès technologique, les meilleures intentions affichées, le savoir-faire.
    Trop de certitude dans la vie politique risque d’amener à la dictature, en religion, trop de certitude peut, comme on le sait, conduire au fanatisme, dans la science peut constituer une terrible tentation pour elle d’arborer des dogmes, des réassurances abstraites. La médiatisation de propos discordants alarmants ou trop rassurants suscite des doutes dans la population sur la réalité des dangers, difficiles à évaluer. »

    Voici ma réponse à vos interrogations

    Philippe

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    • H. dit :

      Merci Philippe pour ces rappels utiles.

      Aimé par 2 personnes

    • Citoyen dit :

      Voila qui est fort bien envoyé, Philippe. Et qui fournit matière à réflexion à qui de droit …

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    • Anonyme dit :

      Bonjour Christophe,
      Bravo pour ce gros travail de réponse…
      Qui manque de concision, pour la bonne et simple raison que ce qui compte prioritairement à vos yeux se résume à l’idée du faire valoir personnel : vous étalez une érudition ou des apprentissages personnels (banalement louables), sans rapport avec le sujet !
      J’aurais préféré que vous vous en teniez au problème à travers un raisonnement contradictoire, sans toute la série de détournements stériles et donc inutiles.
      Sur le raisonnement, on ne peut pas admettre :
      – Le déni de l’effet épidémique quand toute la planète est confrontée au même problème (relativiser ne résout rien) ;
      – Le déni de la stupidité de mourir ou souffrir pour avoir contracté un virus qui n’est rare que parce qu’une certaine discipline s’y oppose (personnelle et par nécessité hélas, collective) ;
      – La misère du monde (je l’ai côtoyée aussi pendant 50 ans, et participe activement à des associations caritatives), ne saurait constituer le référentiel de vie de chaque humain sur cette planète ;
      – Votre conception fatalisme de la vie (bien que vous soyez un pratiquant du risque pour vous-même) ne saurait non plus constituer un standard universel de vie, du moins humaine…; Pourquoi pensez-vous qu’une énergie considérable est développée pour limiter le risque des autres ? La vie humaine est elle aussi insignifiante ?
      – Le bon sens que vous évoquez dans le fait de ne pas respecter une discipline élémentaire, sera parfaitement idiot si vous n’avez pas de chance…le plus grave étant que vous pouvez être le responsable du « pas de chance » de plusieurs personnes de votre entourage ; (mais le « pas de chance », ça n’arrive qu’aux autres, c’est ça la réalité et le bon sens !) ;
      – La décision politique, comme toute décision, ne peut omettre la réalité du terrain, qui hélas ne correspondra jamais à l’idéal (fort théorique) de quiconque. Vous qui pratiquez la pédagogie, pensez-vous qu’il soit simple de faire admettre la réalité du virus à 67 millions de français (ou à tout citoyen d’un pays) ? surtout avec une forte proportion d’individus pour qui il ne sera pas question de faire la part des choses…et continuera de vouloir ce que son égo (fort théorique aussi, mais surtout fort inconscient) lui dicte. Les historiens, hélas ont bien noté que le conflit des idéaux ne tombait pas toujours du côté du bon sens universel (cela en vertu d’une loi profondément ancrée : la loi du prédateur qui a besoin d’une proie à vaincre, quitte à en payer un prix fort…) ;
      – Le traitement de ce fléau (qui n’en est pas un pour vous, car vous êtes réaliste !), ne saurait progresser avec la multitude (et vous) qui simplifie et rend binaires les solutions possibles, et de plus s’installe dans la critique et la protestation systématique : ce n’est pas l’hécatombe, DONC ce n’est pas grave et DONC nos gouvernements nous manipulent comme si c’était grave, etc etc…
      Conclusion : arrêtez de nous écrire vos qualités pour vous en convaincre vous-même, et de grâce allez au plus près du sujet, et le plus concisément possible (sans oublier l’indispensable et pertinente argumentation…).

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    • there dit :

      Merci Philippe pour votre éclairage de globe trotteur bienvenu . Il est très utile de regarder des faits depuis d autres lieux , les faits comme les paysages, les montagnes n ont pas qu un profil. Chacun croyant voir « la vraie montagne » . Ce à quoi nous assistons en Europe est une réaction d europeens : plutôt vieux, avec une bonne espérance de vie. Ce virus vient bousculer cet édifice de coton ouaté . Les gens sont prêts à tout pour annihiler ce virus qui s attaque à eux en grande priorité. Prêts à vacciner leurs petits-enfants, leurs arrières petits-enfants, alors que le bénéfice/ risque n est pas favorable pour ces jeunes populations. Nos élus, assis sur les votes de ces personnes -car ce sont ceux qui votent massivement- et regardent la tv font tout pour les rassurer.

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  9. Jean-Luc dit :

    Bonjour Maxime, bonjour à tous,

    Cher Maxime, merci pour la liberté d’expression que vous faites prévaloir sur ce blog, ainsi que pour votre capacité à ne rien céder sur l’essentiel.
    Ayant à accompagner un proche handicapé en début de semaine, je vais pouvoir tester, en l’absence d’ausweiss, l’accueil de l’hôpital…
    Je transmets ci-après, un texte de circonstance glané sur le blog du Dr G Maudrux, à l’attention de certains commentateurs, pour qui la liberté n’est plus qu’un concept…….évanescent, à brader pour une sécurité sanitaire fantasmée.

    Par Addison Reeves.

    « C’est juste deux semaines. C’est juste rester à un mètre de distance. C’est juste rester à deux mètres de distance. C’est juste ne pas sortir. C’est juste ne pas serrer de mains. C’est juste travailler à la maison. C’est juste les commerces non essentiels qui sont fermés.

    C’est juste les bars. C’est juste les restaurants. C’est juste les théâtres. C’est juste les concerts. C’est juste la danse. C’est juste les sports intra-muros. C’est juste la chorale.

    C’est juste les services médicaux non essentiels auxquels vous devez renoncer. C’est juste les articles non essentiels que vous n’avez pas le droit d’acheter. C’est juste ne pas pouvoir faire de l’exercice. C’est juste les gymnases. C’est juste la fermeture de votre entreprise pendant un certain temps. C’est juste ne pas faire d’argent pendant un certain temps. C’est juste ne pas être capable de payer vos factures pendant un petit moment.

    C’est juste un inconvénient mineur. C’est juste ne pas être autorisé à faire du covoiturage. C’est juste ne pas avoir de relations sociales pendant un moment. C’est juste un masque. C’est juste ne pas voyager pendant un moment. C’est juste ne pas embrasser les gens pendant un moment. C’est juste le sexe en missionnaire qui est risqué.

    C’est juste ne pas voir sa famille et ses amis pendant un moment. C’est juste ne pas rendre visite à vos grands-parents temporairement. C’est juste le fait que vos grands-parents ne reçoivent pas de visiteurs pour leur sécurité. C’est juste un anniversaire que tu dois sacrifier. C’est juste un Thanksgiving seul. C’est juste un Noël sans ta famille. C’est juste deux anniversaires que vous avez dû sacrifier. C’est juste ne pas célébrer d’événements marquants pendant un an et demi.

    C’est juste temporaire. C’est juste une mesure de sécurité. C’est juste votre capacité à payer en liquide. C’est juste une recherche de contacts. C’est juste un examen de santé. C’est juste un contrôle de température. C’est juste un scan de votre visage. C’est juste une perte mineure d’intimité.

    C’est juste un semestre. C’est juste deux semestres. C’est juste une année de moins dans la vie de votre enfant. C’est juste un semestre de plus. C’est juste un diplôme d’études secondaires.

    C’est juste la naissance de votre petit-enfant que vous avez manquée. C’est juste ne pas pouvoir être là pour vos proches quand ils sont malades ou mourants. C’est juste ne pas avoir de funérailles. C’est juste ne pas pouvoir faire le deuil en personne avec vos proches. C’est juste ne pas pouvoir assister à un service religieux. C’est juste ne pas pouvoir pratiquer certains aspects de sa religion.

    C’est juste la désinformation qui est censurée. C’est juste les conservateurs qui sont censurés. C’est juste une partie de la science qui est censurée. Ce sont juste les personnes qui ont des opinions opposées qui sont interdites en ligne. C’est juste l’opposition que la Maison Blanche cible pour la censure. Ce sont juste les mauvaises opinions qui sont censurées.

    C’est juste l’économie. Ce sont juste les propriétaires de petites entreprises qui souffrent financièrement. Ce sont juste les pauvres qui souffrent financièrement. Ce sont juste les gens de couleur qui souffrent financièrement. C’est juste la souffrance financière. C’est juste quelques petites entreprises qui ont dû fermer définitivement. C’est juste quelques grandes entreprises qui ont fermé.

    C’est juste le fait de ne pas aller plus loin que quelques kilomètres de sa maison. C’est juste un couvre-feu. C’est juste une permission de sortie. C’est juste être seul pendant deux semaines. C’est juste être isolé socialement pendant un an.

    C’est juste un vaccin. C’est juste une série de rappels. C’est juste des rappels réguliers tous les six mois. C’est juste deux semaines de plus. C’est juste un enfermement de plus. C’est juste une fois par semaine – deux fois maximum – que vous devrez prouver que vous êtes apte à participer à la société. Ce sont juste les non-vaccinés qui seront mis à l’écart de la société. C’est juste un test médical.

    Plutôt simple, non ?

    Juste faites-le, putain.

    Mais quand on additionne tous les « justes », cela représente nos vies entières.

    Depuis plus d’un an et demi, nous avons été privés de la possibilité de vivre pleinement nos vies, de faire des choix significatifs pour nous-mêmes et d’exprimer nos valeurs comme nous l’entendons.

    C’est « juste » l’incapacité d’exprimer notre humanité et la négation totale de notre propre personne. Toutes ces mesures ont servi à interdire l’expression vers l’extérieur de la réalité interne valide et complexe d’une personne. Ce type de suppression de soi fait violence à l’âme même de chacun.

    Tous ces « justes » soi-disant insignifiants et soi-disant éphémères nous ont transformés en États totalitaires qui ne semblent pas avoir de fin.

    À New York, en Californie, en Australie, etc., le peuple a permis au gouvernement d’exercer un tel contrôle sur notre vie quotidienne que nous devons lui demander la permission de disposer de notre corps, de nous déplacer librement, de pratiquer une religion, d’éduquer nous-mêmes nos enfants, de protester, etc.

    Bientôt, Biden, Trudeau et d’autres dirigeants mondiaux vont restreindre notre capacité à nous exprimer et à nous associer en ligne, de sorte que nous ne pourrons plus remettre en question, objecter ou nous organiser contre l’action du gouvernement. C’est la destruction de la démocratie.

    Je suis stupéfait de voir que mes amis progressistes – les mêmes qui prétendent soutenir la « justice sociale » – accueillent favorablement une société fasciste dans laquelle le gouvernement écrase toute opposition et où les individus ne peuvent pas faire de choix concernant leur propre vie.

    Je ne m’y conformerai pas parce que je ne veux pas vivre dans la société qui est créée par une extraordinaire soumission au gouvernement. Je ne veux pas être complice des atrocités de cette époque.

    Quel est le sens de la vie si l’on n’existe que pour obéir à l’élite à son propre détriment ? Est-ce même vivre si l’on n’a pas la possibilité de diriger sa vie ? Je me suis déjà soumis en contradiction avec mes valeurs à un point honteux. On pourrait dire : « Eh bien, qu’est-ce qu’un compromis de plus », mais ce ne sera pas juste un compromis de plus. Ce sera juste la prochaine entaille dans une mort lente par mille entailles.

    Se soumettre ne fait que valider l’étalage tyrannique du pouvoir et garantit qu’il y aura d’autres étalages de ce genre à l’avenir.

    Et que gagne-t-on à faire des compromis ? Simplement votre appartenance continue à une société qui ne vous acceptera que si vous vous immolez et ne devenez rien de plus que le reflet des désirs de la classe dirigeante.

    Si vous ne pouvez pas être vraiment vous-même dans une société, cette société vaut-elle la peine qu’on s’y accroche ? Je ne le pense pas. Autant quitter la stabilité de ma zone de confort me terrifie, autant y rester signifie continuer à me réduire au silence et à me rétrécir pour un sentiment d’acceptation fallacieux. En ce sens, il s’agit plutôt d’une zone d’inconfort.

    Chaque fois que j’ai exprimé mes craintes sur l’orientation future de la société, mes amis m’ont dit « ça n’arrivera pas ». Chaque fois que cela s’est produit, ils ont haussé les épaules et m’ont rappelé que la conformité était une option.

    À l’heure actuelle, si le gouvernement devait m’emmener dans un camp d’internement (ce qui n’est pas une idée complètement farfelue et s’est déjà produit dans le passé) parce que je suis un dangereux dissident, je suis certain que mes amis et ma famille assisteraient à la scène et diraient que c’est ma faute parce que je ne me suis pas conformé.

    Ils ne sont plus capables de reconnaître l’humanité de l’opposition ou de remettre en question le gouvernement.

    Je ne me soumettrai pas parce que je ne veux pas vivre dans un monde où mes supposés alliés seraient heureux de me voir persécuté par le gouvernement.

    Je ne me soumettrai pas parce que le climat politique est devenu si censuré, autoritaire et généralement toxique que mes points de vue ne seront jamais représentés dans le processus politique ici. Sans représentation, mes valeurs et mes croyances seront violées encore et encore par un système politique qui considère tout écart par rapport à lui-même comme invalide. Ainsi, ma conformité ne fournira aucune assurance d’un meilleur traitement à l’avenir.

    Je ne plierai pas parce que je ne suis pas conformiste.

    Je ne céderai pas parce que je ne veux pas récompenser la manipulation et la coercition du gouvernement.

    Je ne me rendrai pas parce que je peux mourir à tout moment, et je ne veux pas que mes derniers souvenirs soient ceux d’une soumission lâche à la tyrannie et de la misère et du dégoût de soi qui en résultent.

    Je ne me soumettrai pas parce que ce n’est pas la première intrusion du gouvernement dans mon corps, mon esprit et mon âme ; et si nous nous soumettons, ce ne sera certainement pas la dernière. Tout ce que j’accomplirai par ma soumission est de valider la revendication du gouvernement sur mon corps et ma vie.

    Je ne me soumets pas parce que c’est la guerre, et je ne vais pas donner à l’ennemi ses victoires.

    Je ne me soumettrai pas parce que la récompense de ma conformité sera toujours d’être traité comme un citoyen de seconde classe par la société.

    Je n’acquiescerai pas parce que je suis un objecteur de conscience.

    Je ne céderai pas parce que les mesures sont inutiles et que leur seul effet pratique sera d’accroître le pouvoir du gouvernement.

    Je ne me conforme pas parce que je ne veux pas être un simple esclave dans la version future du monde qu’ils créent, ne faisant que ce qu’on me dit de faire et devant mendier pour avoir accès aux nécessités de la vie auxquelles j’ai droit en tant qu’être vivant sur cette terre.

    Je ne céderai pas parce que leur religion n’est pas la mienne, et que je refuse d’adorer une fausse idole.

    Je ne capitulerai pas parce que je ne veux pas trahir mes ancêtres et mes prédécesseurs qui se sont battus pour que je sois libre.

    Je ne me rendrai pas parce que la liberté est plus importante que la commodité et la facilité.

    Je ne me conformerai pas parce que si je le faisais, je serais rempli de rage contre la société, de ressentiment envers mes amis et ma famille, et d’un dégoût de moi-même qui me dévorerait vivant. Je deviendrais amer et fermé, et je ne veux pas de cela pour moi.

    C’est pour tout cela que je ne veux « juste pas le faire, putain ». »

    source : https://off-guardian.org

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  10. lehibou dit :

    CAROTTE SANITAIRE
    Se faire vacciner en échange d’une prime de 200 €, telle est la carotte proposée par le groupe Cooperl, principal abattoir de porcs en Bretagne.

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  11. fraternel dit :

    bonjour à toutes et à tous,
    Allons nous enfin vivre dans une société apaisée libre des cicrconvolutions de nos politiques de nos dirigeants en se mettant autour d’une table en discutant que l’on soit pour ou contre le pass sanitaire pour ou contre la vaccination.
    ce pouvoir par sa comunication obsolète autoritaire infantilisante ne voyant que le matraquage communicatif comme soultion ultime.
    un président qu’à ne cesse à stigmatiser celles et ceux qui en vont pas dans son sens y compris les médecins qui ne cessaient de conseiller de n’ouvrir que 10 jours après et prendre son temps.
    mais non l’égo surdimensionné de notre dirigeant et de sa cour nous mènent là ou nous sommes actuellement.
    et ne parlons pas du conseil constitutionnel qui joue à ponce pilate et reste très prudent faut pas décevoir le pouvoir en place.
    comment peut on accepter le fait de devoir présenter un pass sanitaire pour se faire soigner à l’hopital (sauf urgence)
    comment peut on accepter que des personnes vaccinées pourront librement enlever leru masque dans les lieux clos et refuser les clients en terrasse sans pass
    mais dans quel vivent donc ces gens là?
    je ne suis moi meme pas vacciné raison qui me sont personnelles tout en respectant les gestes barrière je ne fais pas de test pcr pour aller dans des endroits qui me seront interdits
    plutot resteindre une partie de ma liberté que de me soumettre.
    le jour ou ce gouvernement parlera de façon apaisée sereine sans stigmatiser je reverrai ma position.
    de plus celà mène actuellement à une france divisée meurtrie aigrie sur le site de 20mn les insultes fusent à qui mieux mieux (des deux cotés je l’avoue)
    pas étonnant que les manifestants soient en nombre deplus en plus les samedis (avec toujours malheureusement dans les cortèges des imbéciles heureusement minoritiares qui ne sontl àque pour casser du flic comme on dit parler de passnazitaire et d’agresser des pharmaciens ou de détruire des centres de vaccInation.
    Ils devraient comprendre ces illuminés que celà nuit au mouvement et qu’une certaine presse ne se gene pas d’en faire ses choux gras.
    bref si j’ai parlé dans un post précédent d’une révolte au mois de septembre ce n’est pas que je le veuille mais que si le gouvernement continue dans soin entetement çà risque de faire mal et ce ne sera bon pour personne.
    voilà espérons que le bon sens l’emportera que ce pass sanitaire sera limité pour les grands évenements comme c’était le cas jusqu’à présent et qu’on laisse les personnes pouvoir aller au resto et pouvoir accéder à la culture.
    cordialement,

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  12. lehibou dit :

    @Pierre-Jean
    « le passe » en tant que substantif masculin est traditionnellement le nom familier de » passe-partout » (cf le Petit Larousse).
    Le mot « passe sanitaire » est un emploi nouveau et parfaitement légitime de « passe ».

    « laisseZ-passer », et non « laisseR-passer », vient de l’expression « laissez faire, laissez passer ». Ladite expression est née au moment de la Révolution quand on a aboli les frontières douanières qui existaient entre provinces sous l’Ancien Régime. « Normalement » on apprend (ou apprenait) cela dès l’école primaire.
    Aujourd’hui, dans un contexte politico-économique, on parle d’idéologie du laissez-faire, ou laissez-fairisme, pour caractériser un système où le rôle de l’Etat est réduit au minimum, voire quasiment inexistant. C’est l’ultra-libéralisme cher aux ultra-capitalistes de l’Ecole de Chicago, dont Thatcher et Reagan furent les chantres les plus farouches. Le mot « laissez-faire » n’est pas uniquement utilisé dans le monde francophone, mais a été adopté par routes les langues des pays de ce qu’on appelle le premier monde.
    La leçon est terminée.

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    • Escargot dit :

      Mais où est-il donc ce PEUPLE SOUVERAIN ? je me le demande !
      Le pass sanitaire est contraire et vous le savez
      👉Aux droits de l’homme, article 2
      👉À la constitution française, article 55
      👉Au code civil, article 16
      👉Au code pénal, article 225
      👉Au code du travail, article 11.32
      👉Au code de santé publique, article R27.31
      👉Au code de déontologie médicale, article 36
      👉Au serment d’Hippocrate
      👉À la loi du 13 Juillet 1983
      👉À la loi nᵒ 2002-3032 appelée loi Kouchner ( qui appuie aujourd’hui ce pass ! )
      👉Au Conseil de l’Europe, résolution 97 article 5
      👉À la déclaration d’Helsinki de 1996
      👉À la déclaration de Genève de 1948
      👉À la déclaration de Nuremberg de 1945

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  13. Sganarelle dit :

    Pour répondre à Jojo qui demande pourquoi dans ce pays il y a deux poids et deux mesures, je dirai qu’il touche au problème de l’Egalité si chère aux préceptes républicains .. or elle n’existe pas dans la nature et encore moins dans les sociétés humaines tout comme la Liberté qui est le saint viatique ici…quelle liberté ? Alors que le libre arbitre est si discuté et que le simple fait d’aimer entraîne une dépendance aliénante…mais tout cela est trop long pour philosopher en rond et c’est peut- être pourquoi les intellos se taisent .
    J’essaie d’excuser et de comprendre une attitude intellectuelle ou un diktat gouvernemental parce que je pense qu’il n’y a pas grand chose de gratuit en ce monde , que tout à une cause ou une raison ,bonne ou mauvaise et que suivant Alain j’ai fait du doute ma ligne de conduite .
    «  Toute vérité devient fausse dès l’instant où on s’en contente »
    On juge, on condamne on assène ce qu’on croit être des vérités alors qu’en fait notre belle intelligence nos prétentions et nos techniques ne sont rien face à la nature , face à un méchant petit virus qui ( pour l’instant) nous mène par le bout du nez .

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    • Pheldge dit :

      sophisme ! il n’est pas question de l’égalité dans l’absolu, mais de l’égalité, principe fondateur de la république, qui est ici, comme d’habitude, piétiné, contourné, par ceux-là mêmes en charge de faire des lois. Et vous ne répondez absolument pas sur ce point !

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    • Jojo dit :

      Bonjour à toutes et à tous,
      Merci Sganarelle pour votre réponse très « étudiée ».
      Trop de philosophie. Perso, je suis bcp plus pratique et très terre-à-terre, un esprit cartésien en somme.
      Au point où nous en sommes …. Le bateau coule … et il n’est plus question de savoir si on a bien lustré les cuivres … il faut larguer les bouées ! Ça urge ! Enfin … c’est ce qu’on nous inculque.
      La question est : y a-t-il, oui ou non, un virus mortel pour tous. C’est une question binaire très simple : OUI ou NON !
      Et quand j’écris « TOUS » … il n’y a AUCUNE exception.
      Si on admet que « certaines personnes » n’ont pas l’obligation du Pass (à l’Assemblée Nationale par ex), … alors cela signifie que ce virus n’est pas aussi mortel qu’on veut bien nous le laisser croire.
      Tout le reste n’est que littérature … logique ! Restons logique !

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    • Escargot dit :

      Liberté vs Egoïsme ?

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  14. roijoyeux dit :

    Le but du gouvernement est juste de tenter d’éradiquer ce virus qui mute sans arrêt et gâche la vie du monde entier depuis presque 2 ans !! …

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    • Vista21 dit :

      Non, le but de ce Gouvernement n’est pas d’éradiquer le coronavirus, car il n’est pas éradicable : c’est une zoonose, il est hébergé par des centaines d’animaux-hôtes (vison, chat, chien, civette, etc.) chez lesquels il mute, et les variants s’échangent entre animaux et êtres humains. Donc le vaccin anti-COVID actuellement injecté n’éradiquera pas le SARS-Cov-2, à la différence de la variole où l’être humain est le seul animal-hôte : en vaccinant tout le monde contre la variole, on éradiquait la variole. De surcroît, le vaccin anti-COVID exerce une pression de sélection sur le coronavirus, qui mute pour échapper au vaccin => d’où les variants.
      Le Gouvernement instrumentalise l’épidémie COVID à des fins politiques : pour réduire les droits et les libertés des citoyens français et pour fracturer la société et monter une partie des Français contre l’autre, sur le principe : diviser pour régner.
      Pour preuve : la loi votée le 25 juillet 2021, acceptée en grande partie par le Conseil Constitutionnel le 5 août ne vise pas à réduire l’épidémie, mais à forcer les  »non-vaccinés » à se vacciner. Si on avait voulu réduire l’épidémie : il aurait fallu exiger un test négatif de moins de 48h (ou 72h) de tous les individus à égalité (vaccinés, non-vaccinés, anciens malades guéris) avant d’entrer dans certains lieux (cinémas, restaurant, discothèque, train grande ligne, avion, etc.) car les  »vaccinés » peuvent être contaminés par un variant et contagieux pour leur entourage. Il faudrait aussi que tout individu contagieux (vacciné et non vacciné) s’isole en quarantaine pendant 10 jours. Il faudrait donc conserver la gratuité des tests (PCR, antigénique) sans ordonnance médicale pour la rapidité des opérations en période d’épidémie.

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    • cgn002 dit :

      On n est pas certains que notre gouvegnement tente de l’éradiquer…, si l » on y regarde bien…
      Il nous la joue hyper protectrice et hyper dogmatique, alors que d autres pays sont infiniment moins dans ce jeu de billard à 2 ou 3 bandes…
      Je suis d accord sur la nécessité de la plupart des mesures (très largement reconnues d ailleurs), mais les erreurs
      les maladresses, les mensonges, les fautes cachées, les corruptions, les approximations associés à des mesures dogmatiques inutiles, ça pose quand même un très sérieux problème avec notre président…
      Si le peuple pouvait imaginer le niveau de cynisme …
      Voyez simplement comment Macron à demandé à Buzin de parler contre son gré…etc etc

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