André Tardieu, l’Incompris, Perrin 2019

En remerciant une fois encore, de tout cœur, les personnes qui ont bien voulu s’intéresser à ce livre, voici, pour les amateurs d’histoire du XXe siècle, quatre nouveaux articles  relatifs à ma biographie d’André Tardieu:

A propos maximetandonnet

Ancien conseiller à la Présidence de la République, auteur de plusieurs essais, passionné d'histoire...
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5 commentaires pour André Tardieu, l’Incompris, Perrin 2019

  1. Sganarelle dit :

    Ne croyez-vous pas monsieur Tandonnet que l’oubli et la méconnaissance entourant André Tardieu sont volontaires et dues au fait de son amitié avec Pierre Laval ? Sans doute avec le temps nous arriverons à une vue plus juste et sereine et si on en juge par la relation faite encore de nos jours de la révolution de 1789 le moment de la vérité n’est pas encore venu mais votre livre y contribue avec talent.

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  2. Mildred dit :

    Monsieur Tandonnet,
    Pour moi qui ai mauvais esprit – et ils commencent à être nombreux sur les blogs, qui peuvent vous en toucher deux mots – je note que Tardieu « aurait pu et aurait dû être notre Churchill », mais qu’il ne l’a pas été.
    Vous reste le mérite de l’avoir tiré de l’oubli.

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    • Mildred, totalement paralysé des 4 membres et ayant perdu l’usage de la parole à la suite d’un AVC, il ne pouvait plus faire grand chose en 1939-1940. Vous devriez lire mon livre (23€50) ce qui vous donnera l’occasion de déchaîner votre verve critique…
      MT

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    • jfsadys dit :

      Churchill avait le peuple anglais derrière lui en grande majorité, pas Tardieu.

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    • Mildred dit :

      Monsieur Tandonnet,
      Je lis à la page 468 du « Destin français » d’Éric Zemmour, au chapitre intitulé : Clémenceau – Crime et châtiment, où, après avoir dit (p452) : « Il conduisit seul, entouré de quelques conseillers, comme Mendel ou Tardieu, les négociations de paix, comme il avait conduit en solitaire les opérations de guerre. », il écrit :
      « Tout l’entre-deux-guerres était inscrit dans la défaite de Clémenceau face à ses deux alliés, l’Américain Wilson et l’Anglais Lloyd George. Que le Français soit intransigeant ou conciliant, belliqueux ou pacifique, qu’il use de l’arme militaire ou financière, qu’il plaide pour une « Société des Nations avec des dents » ou pour la « paix européenne », qu’il occupe la Rhur (1923) ou renonce, sous l’injonction britannique, à entrer en Rhénanie (1936), le Français serait abattu comme un chien, car ses maîtres anglo-saxons en avaient décidé ainsi… »
      Vu sous cet angle, on comprend qu’André Tardieu, paralysé ou pas, ait été complètement impuissant !

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