L’idée est à la mode et l’occupant de l’Elysée est revenu dessus à plusieurs reprises. Elle procède d’un constat simple, presque mécanique. La France reçoit environ 350 000 ressortissants étrangers « de pays tiers » (hors UE) chaque année (sans compter les demandeurs d’asile ni les migrants en situation irrégulière, mais sans compter non plus ceux qui repartent comme les étudiants, d’où le caractère très approximatif de cette statistique). Aujourd’hui, ils résident pour l’essentiel en région parisienne et dans les grandes métropoles notamment lyonnaise et marseillaise. Pour faciliter leur intégration, il faudrait, selon la doctrine actuelle, les répartir en province et dans le monde rural en voie de désertification. D’une pierre, deux coups…
Cette idée de quotas impératifs de répartition des populations migrantes vient notamment d’Allemagne, où elle est, depuis au moins un demi siècles, un principe fort de la politique migratoire – pouvant s’expliquer par le caractère fédéral de ce pays.
A titre personnel, je la trouve absurde. Elle est une forme de renoncement et de mépris. Soit les migrants sont en situation régulière, entrés avec un visa d’immigration (long séjour) ou régularisés par les préfectures ou réfugiés reconnus. Dans ce cas, en vertu du principe de non discrimination et de liberté, ils ont le droit de circuler et de résider où ils le souhaitent, comme tout homme libre sur le territoire. Soit ils sont en situation illégale et l’Etat n’envisage pas de les régulariser. Dès lors ils doivent retourner dans leur pays en application du droit international et du droit national. Il n’existe pas d’autre possibilité.
D’ailleurs, du point de vue de l’intégration, il est incohérent de vouloir forcer des migrants à résider dans des espaces ruraux d’où partent les jeunes Français en l’absence de possibilité d’emploi. C’est les condamner au désœuvrement et au chômage ou à la solitude : le contraire d’une politique d’intégration. Enfin, délocaliser les populations migrantes en imposant aux populations locales des centres d’accueil, plaqués arbitrairement, de manière artificielle, autoritaire et sans concertation, est une manière d’attiser les tensions sur l’immigration et de favoriser les tentations du vote extrémiste.
Cette politique relève ainsi d’un double mépris, celui des ressortissants étrangers – contraints de vivre à un endroit qu’ils n’ont pas choisis – et celui des habitants locaux. Mais n’est-ce pas le but recherché, au fond, par les apprentis sorciers ? Elle est d’une rare hypocrisie, visant, à satisfaire les idéologues sans frontièristes, résidents des bons quartiers urbains (la France affirme sa vocation de pays d’accueil) tout en les préservant d’une promiscuité redoutée avec les classes populaires issues de l’immigration, expédiées dans les campagnes. Tartufe, maître de ce monde. Tout ceci est bien lamentable…
MT
Maxime Tandonnet - Mon blog personnel 
Le bokson mondialiste nous met allegrement des coups de boutoir .Il serait grand temps que le vent se lève ,à la mode irlandaise.
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《CE QUI CESSE DE CROÎTRE, COMMENCE À POURRIR !? 》A DIT CATH., LA GRANDE DE RUSSIE ?!
(Un peu de provoc’ réveille toujours le neurone !!)
Bonjour à toutes et à tous,
Bonjour monsieur,
Tout d’abord, * Merci Monsieur * de nous servir, à nouveau, de riches mets pour la nourriture de l’âme & digne de nous faire collectivement grandir !
Maintenant, quand on voit l’évolution des problèmes, vous avez, nous avons purement raison de faire une pose sur la question !
Oser aller chercher, la réelle Sensation du monde moderne, pour prendre pleinement conscience des nouvelles contraintes qui enserrent le vieil esprit bourgeois occidental, voilà une D.marche plus honnête & courageuse, que de se faire l’écho de tous les esprits les plus D.générés de la nouvelle pensance !
Elle l’est, (honnête & courageuse), parce que les Pensées qu’elle suscite ne sont plus dans l’air du temps.
Pour les bons vieux bourgeois que nous sommes tous devenus, (Privilégiant le vote à l’expression de la force, niant les fondamentaux même de la vie, oubliant la lutte sans merci de °Musclor° le petit spermatozoïde vainqueur et créateur de chacun des regards qui pass ici & ailleurs !), l’idée même de combat semble absconne et avilissante.
Et pourtant !? Nous le savons tous,《Vivre c’est lutter, vaincre c’est exister !》
Au-delà, donc, des langueurs monotones des angéliques Sentiments, servis à longueur de saisons, réside la Vérité de la vie !
Et, bien que nous ayons tous compris, ici, que dans le mensonge permanent, de notre système de gouvernance, loge la confusion (qui cherche à nous perdre & dissoudre les oppositions), nous éprouvons les plus grandes difficultés à pratiquer le discernement des mots et des maux.
Préférant, décrire (et palabrer sur ) les situations, plutot que d’exprimer une volonté, le ☆vocable☆ devient delors l’arme idéale des opérations fortitude du moment, en quelques sorte les destructrices Enola Gay des réflexions constructives !
(Pour le debat) – Ce que l’on nomme communément les zones de ☆non-droit ☆ ne sont elles pas, en vérité, des zones de °non-devoirs°, chacun conservant ses droits à tous les bienfaits de la respublica.
(Pour le debat toujours) Ainsi / de même, lorsque EM. annonce《Les OQTF non exécutées sont un des symboles de son impuissance.》ne peut-on pas, voir également, le symbole de la toute puissance de la supercherie ?
Dire une chose (laisser croire ?!) & Faire une autre !?
Les déclarations de certains pouvant éventuellement, appuyer mes allégations ?!
https://www.bvoltaire.fr/pour-booba-letat-francais-est-beaucoup-trop-mou-et-faible/
Le contexte actuel donne, donc, du grain à moudre à l’ensemble de nos Intuitions.
Je ne m’attarde pas sur l’inconfortable position des forces de l’ordre coincées entre le marteau et l’enclume. Pas plus, sur les conséquences des fabuleuses répartitions métastatiques. Encore moins, sur les départs et/ou D.placements programmés de certaine bonne civilité au détriment de moins …
Quoi qu’il en soit, c’est bien à une friction, entre les énergies descendantes de l’ancien & montantes du nouveau monde, auquel nous assistons.
Une lutte à vie de • Vouloir • & de • Pouvoir •, nous invite inévitablement à comprendre, que jouer aux apprentis sorciers avec le désir des âmes d’ici et d’ailleurs, ne conduit qu’à préfabriquer un espace de violence.
Bon nombre est déjà là, et d’autres plus nombreux encore arrivent !
L’heure approche, ou va falloir commencer à arrêter de philosopher, Valéry l’a, déjà annoncé, peut-être de manière prémonitoire,《On peut dire que tout ce que nous savons, c’est-à-dire tout ce que nous pouvons, a fini par s’opposer à ce que nous sommes ¿》
L’heure des choix approche •••▪︎
À suivre,
Cordialement
Il y a un certain temps, j’avais déjà eu l’outrecuidance de vous le signaler.
Je vous le confirme, aujourd’hui :
L’ODEUR DU MONDE A CHANGÉ !
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Les loups ,plus nombreux,se répandent dans nos bergeries.
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« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. J’y suis né, j’ai bu
aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé, je ne respire bien que sous son ciel,
et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux ».
Marc Bloch, l’Étrange défaite, septembre 1940…. cette citation illustre le blog de Malika Sorel.
Le monde rural, appelé France profonde, a quelque chose d’immuable, de rassurant, sans doute ça dérange qu’il y ait encore des Français attachés à leur clocher, des villages qui ont conservé leur calvaire, leur église même vide, elles n’ont pas vocation de servir de terre d’accueil à ceux qui veulent s’en emparer et la transformer, car il s’agit bien de cela, répartition de migrants=autres lois, autre culture, autre religion, autres moeurs et alors que restera-t-il de la France ? le petit président s’est engagé dans un projet tous risques, briser la France et son histoire, anéantir tout ce qui pourrait s’appeler identité jusque dans ses racines profondes et pour qui, être français, c’est une fois par an au 14 juillet.
C’est un poète qui a trouvé la meilleure formule et l’art de le dire : « Je suis devenu Français d’abord, dans ma tête, dans mon coeur, dans ma manière d’être, dans ma langue… J’ai abandonné une grande partie de mon arménité pour être Français… Il faut le faire. Ou alors il faut partir. (Charles Aznavour)
Ceux qui débarquent dans nos campagnes ont ils ce même langage ?
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répartition de migrants = invasion sournoise, insidieuse et lente, mais tout aussi destructrice.
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Le tartuffe de l’Elysée, mais également ces bonnes âmes parisiennes, pensent que les immigrés vont trouver leur bonheur dans les champs. Ils n’ont jamais sarclé ni moissonné. Pour connaître un terroir et vivre à la campagne, il faut y vivre ou y avoir vécu, sentir défiler les saisons, voir le désespoir des agriculteurs lorsqu’un orage de grêle détruit une récolte ou couche les blés, fruits parfois de plusieurs années de travail et de patience avec la nature.
Macron, mais aussi certains parisiens qui se prennent pour l’Elite « française », enfants gâtés d’une république qui n’en est plus une, prennent la ruralité pour une décharge. Ils n’ont de considération ni pour les « bouseux » que nous sommes à leurs yeux, ni pour les immigrés.
« Cachez cet immigré que je ne saurais voir », et je rajouterais « cachez ces dealers et drogués que je ne saurais voir » car avec cynisme, ils se débarrassent aussi des drogués encombrants en les envoyant au vert à la campagne : malheureusement, ceux-ci font suivre les dealers qui s’en donnent à cœur joie sur une population qui était encore assez vierge de cette peste moderne il y a 20 ans….
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On va donc répartir les « difficultés », selon l’acception de la novlangue macronienne, sur le territoire.
Quel art de la litote.
Continuons de masquer, d’occulter et de balayer sous le tapis et de laisser entrer 300 000 difficultés par an.
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je vois cette annonce comme assortie à une grande régularisation conditionnelle : « vous peuplez les régions désertes pendant 5 ans, et la régularisation est définitive ». Sinon, nous sommes dans les cas décrits par MT, où la liberté de circulation et d’installation s’applique.
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Bonjour à tous,
Bonjour à vous Mr Tandonnet
L’idée de « répartition » est-elle vraiment absurde ?
« A titre personnel, je la trouve absurde. Elle est une forme de renoncement et de mépris. Soit les migrants sont en situation régulière, entrés avec un visa d’immigration (long séjour) ou régularisés par les préfectures ou réfugiés reconnus. Dans ce cas, en vertu du principe de non discrimination et de liberté, ils ont le droit de circuler et de résider où ils le souhaitent, comme tout homme libre sur le territoire. » écrivait vous fort bien Monsieur Tandonnet.
Déjà un petit bémol, déjà des limitations à circuler sur le territoire existent, ainsi le circulation dans les calanques est limitée, l’Ile de Batz aussi je crois limite la circulation journalière des touristes. A Marseille je crois aussi des croisiéristes ont été accueillis aux cris de « Go Home ». Le tourisme de masse en effet devient un problème.
Ce petit bémol rangé dans un coin de notre tête, interrogeons nous maintenant au sort de ces Bretons d’après guerre:
https://actu.fr/bretagne/brest_29019/la-migration-des-bretons-dans-le-sud-ouest-1921-1960_55703416.html
Eux aussi avaient le droit de circuler et de résider où il le souhaitaient. Personne ne les a obligés à quitter leur terre bretonne, mais ils sont partis volontaires espérant bon an mal an pouvoir y construire une vie meilleure. Ainsi du projet de Callac personne n’a obligé, une dizaine de familles d’immigrés en situation régulière de s’installer à Callac dans le cadre d’un projet de développement apparemment bien monté et accéder aussi à une vie qu’ils espéraient meilleure tout en redonnant vie à un espace rural en voie de désertification. Mais comme la bêtise s’est bien sûr mobilisée, l’expérience n’a pu être tentée. N' »auraient-ils pas eux aussi faire de bons mécréant à l’instar de ces Bretons bons catholiques devenus avec le temps encore de meilleurs mécréants ?
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Alain j’aime bien votre commentaire qui me rappelle des souvenirs de famille.
Ma grand-mère maternelle originaire de « Napoléon ville » (Pontivy) est venue vivre en Lot-et-Garonne après la première guerre mondiale.
https://www.persee.fr/doc/rgpso_0035-3221_1960_num_31_1_1568
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On s’en fout de la répartition des migrants : TOUS vos amis des LR y sont favorables, de même que les crétins décérébrés de la NUPES et des Socialistes.
Toute cette clique assiste à l’effondrement dramatique de la France sans bouger, sans rien faire, tétanisés qu’ils sont tous par les bons sentiments. En paraphrasant une vieille formule : on ne fait pas de bonne politique avec des bons sentiments.
Parlez nous donc de la politique africains de Necron et de ses derniers rebondissements au Niger ?
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La dilution des « migrants » dans les coins les plus reculés, me fait ouvrir une autre hypothèse suite à une expérience et des observations, de fin de parcours professionnel qui n’a rien à voir avec vos réflexions qui tiennent la route ; même si vous le faites sous l’angle « politique »
Mais selon moi, ces intentions vertueuses, qui rassemblent les mots d’ordre en vigueur chez les raclures de la ponérologie politique, « équité », « déontologie », « universalisme proportionné » « marketing social » etc… ne sont en fait que des préparations à l’accentuation du programme de réduction des libertés et de la contrainte sociale de plus en plus vive de la population .
Comme tout programme en cours, c’est assez vicieux à moyen terme. Je ne développe pas ici, mais mon hypothèse pourrait tenir la route confrontée avec un spécialiste en stratégie
ne pas oublier « la nouveauté n’est qu’une connaissance de l’histoire ».
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Michel Wieviorka, sociologue : « Le chef de l’Etat agit comme si la société était incapable de savoir ce qui est bon pour elle »
TRIBUNE journal le monde 8 aout 2023
Michel Wieviorka
Sociologue
Le triomphe de la communication permanente, pratiquée par Emmanuel Macron, s’effectue sur les ruines du système politique et institutionnel et dans le déni de la société réelle, déplore le directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales dans une tribune au « Monde ».
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« la société » ne sait rien, par contre les individus … parler de « la société » est une façon commode et égalitariste de dire des généralités , en évitant soigneusement de parler des individus, tous différents et inégaux en aptitudes.
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COMPORTEMENT ANISENTROPIQUE DES MIGRANTS
Ils ne se repartissent pas également sur tout le territoire comme un gaz dans un récipient. Ils s’agglutinent dans des lieux où ils trouvent pour se loger, se nourrir, fumer … et toute une organisation de bénévoles leur apportant de quoi vivre en attendant mieux.
D’où la nécessité de forcer les lois de la nature et imposer une répartition homogène et maximale de notre cher et vieux pays.
Macron, président thermodynamicien !
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Bonjour
Macron et sa clique font ce que toute la pègre des élites a fait depuis 40 ans. Les métropoles étant submergées, la pègre essaye de les éparpillés un peu partout. Si un jour ça tourne vraiment mal la pègre quittera le pays.
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Éparpiller
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La répartition des migrants ou l’ensemencement uniforme du pays par des herbages venus d’ailleurs qui sont prolifiques mais inadaptés au terrain civilisationnel.
Et qui le resteront !
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Je suis inquiet à la pensée des prochaines élections européennes – 9 juin 2024 – et de l’énorme pression qu’on subira pour que le camp « du bien » l’emporte assez nettement. Cette échéance doit angoisser la classe dirigeante française qui soutient jusqu’à la mort la politique européenne dans la question migratoire. Heureusement pour elle, il y aura le formidable engouement pour les J.O. qui fera un écran de fumée salutaire. Et, comme d’habitude, après avoir bien écrasé, fustigé et diabolisé les extrêmes, les Français, désabusés et perdus dans le tintamarre médiatique, préféreront, une fois de plus, aller à la pêche à la ligne. L’Europe va commencer à bouillonner comme une marmite.
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