Le chômage français pulvérise en ce moment tous les records de l’histoire. Les catégories A (statistique la plus commune) atteignent près de 4 millions. Les catégories A, B et C dépassent les 6 millions. Ces chiffres sont gigantesques, astronomiques, sans aucun précédent. On se souvient, le naufrage de la présidence Hollande concordait avec l’impuissance de ses gouvernements à faire baisser le chômage à moins de 3 millions de personnes. La présidence de Sarkozy fut frappée de plein fouet par la crise des subprimes et la hausse du nombre de chômeurs (catégorie A de 2 millions à 3 millions). Aujourd’hui, tous les records sont manifestement pulvérisés dans des proportions vertigineuses, titanesques et dans l’indifférence générale. Par le plus étrange des paradoxes, plus personne n’en parle… Ce phénomène ne fait pas l’objet d’une ligne ou d’une phrase dans les grands médias radio-télé. Les faiseurs d’opinion jubilent de la supposée cote de popularité de leur gourou , « solide, équilibrée et rajeunie » supposée bien meilleure que celle de ses prédécesseurs. Mais les règles du jeu ont changé. Les faits (le réel) n’intéressent désormais plus personne. Le chômage n’est plus un souci officiel, comme effacé, gommé, éradiqué de la réalité globale, médiatique avec les montagnes de souffrance et de désespoir qu’il recouvre. Pourquoi cela marche-t-il aussi bien? une partie de l’opinion se satisfait sans doute de l’excuse de l’épidémie. Pourtant, le choix emblématique de l’Absurdistan pendant un an qui a dévasté la société de liberté et amplifié les dégâts économiques – sans rien régler sur le plan sanitaire comme il est aujourd’hui avéré – est de la seule responsabilité du pouvoir. Autre explication: l’accoutumance au désœuvrement massif, à la drogue avilissante des transferts sociaux et à la pauvreté. Et puis surtout le succès de l’enfumage permanent : gesticulations clownesques, ivresse de la polémique quotidienne, asservissement permanent dans les scandales et les crises d’hystérie… Et dans le climat d’abrutissement médiatique quotidien et d’effondrement du niveau scolaire il faut bien le reconnaître: « ça marche! » A court terme en tout cas. Mais qu’en sera-t-il à plus long terme?
Maxime TANDONNET
Michèle & Valukhova,
Nulle indiscrétion de ma part, seulement vous signaler votre prouesse – pour moi – d’utiliser deux pseudos en même temps et dans le même blog. Une audace que je ne me suis jamais permise malgré le grand nombre de mes pseudos et des blogs fréquentés.
J’ai mis un certain temps à réaliser que vous étiez la même personne. Ça m’a attaché à vous.
Vous respirez l’authenticité, la modestie et la grandeur à la fois … rarissime !
J’aimeJ’aime
Attention, ceci n’est pas un site de rencontres (bénévole)!
MT
J’aimeAimé par 1 personne
Une rencontre sous votre égide ne peut être que fructueuse et bénie des dieux.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Maxime,
Ô que non, il n’est pas question que votre blog soit un site de rencontre. Mais en toute simplicité l’on peut susciter quelque sympathie. C’est tout. On a assez de soucis comme ça, et du boulot par-dessus la tête !
Honni soit qui mal y pense !!!
Quant aux pseudos, je trouve que cela m’amuse, mais pas sans raison !
J’aimeAimé par 1 personne
Trop de chômage parce que trop de capitalisme destructeur d’emplois?
« Trop de capitalisme ne signifie pas trop de capitalistes mais pas assez . » affirmait W.K. Chesterton.
Il considérait que le capitalisme tue les artisans, les petits commerçants, les petites entreprises, les petits paysans, qu’il les « prolétarise ».
Voir sur lien suivant ce qu’il entendait par là:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Distributionnisme#Définition
J’aimeJ’aime
en France ,ce qui nous tue ,l » Etat ,,qu » il soit de droite ou de gauche ,nous on remplie les caisses ,,,EUX les vides et en plus nous endette ,jamais je leurs confirais notre entreprise ,en deux mois ,il la coule,,,,michel43
J’aimeJ’aime
L’Etat remplit aussi parfois les caisses d’entreprises privées et publiques qui sont des grandes pleureuses. J’en ai été le témoin plusieurs fois déjà.
J’aimeJ’aime