Midi Libre 17 mars: « la présidente du syndicat étudiant Unef, a déclenché une vive polémique après ses propos au micro d’Europe 1, mercredi 17 mars. Répondant à une question de Sonia Mabrouk, elle a confirmé l’existence de réunions « non mixtes racisées » au sein de l’association. « On organise des réunions pour permettre aux femmes d’exprimer les discriminations qu’elles peuvent subir, et on organise des réunions pour permettre aux personnes touchées par le racisme de pouvoir exprimer ce qu’elles subissent […] je viens de vous expliquer que cela existe. »
« Non mixte racisée »? cela signifie organisation d’une réunion sur un critère racial et discriminant. Une telle initiative est contraire à l’article 1er de la Constitution selon lequel la France ne reconnaît aucune distinction d’origine, de race et de religion. Il est effarant qu’une responsable syndicale puisse tenir de tels propos sans être lourdement sanctionnée. Bien timides sont les réactions du pouvoir politique qui parle d’interdire les « réunion racisées » alors qu’elles le sont déjà sans la moindre ambiguïté possible. Insupportable banalisation du racisme ordinaire en principe sévèrement réprimé par la société et les tribunaux, mais quasiment toléré dès lors qu’il provient d’un syndicat gauchiste, pépinière du parti socialiste. Il est encore plus extraordinaire de voir une organisation autoproclamée chantre de la lutte contre les discriminations, non seulement les pratiquer, mais s’en vanter ouvertement. Bien sûr, l’UNEF fédère moins de 0,8 % des étudiants de nos jours, contre plus de la moitié en 1957. L’image délétère qu’elle donne ne doit pas déteindre sur celle de l’immense majorité des étudiants, peu politisés, qui n’ont rien à voir avec son idéologie et galèrent dans une situation inextricable pour étudier tout en travaillant, passer leurs diplômes et obtenir un métier. L’université française, déjà en grande difficulté, n’a pas besoin de telles polémiques. Les premières victimes de cette dérive et de l’image qu’elle donne, se sont les étudiants.
Maxime TANDONNET
Ce qui est triste c’est de savoir que ce « syndicat » qui est ultra-minoritaire dans les universités est trop entendu, trop écouté et risque d’attirer à lui d’autres étudiants qui le savaient même pas ce qu’elle faisait et disait.
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Les racisés, indigénistes et autres racistes anti-Blancs mettent même des bâtons dans les roues aux gens de couleur qui ne pensent pas comme eux. Comme esprits totalitaires, on ne saurait faire mieux.
Lors de l’inauguration du président Biden, Amanda Gorman, jeune poétese noire états-unienne, avait récité un long poème intitulé « The hill we climb » (La colline que nous gravissons). Elle avait donné son accord pour que ce texte soit traduit et publié en néerlandais par Marieke Lucas Reineveld, jeune écrivaine hollandaise (blanche) dont elle avait lu un livre traduit en anglais, lequel elle avait fort apprécié.
Survient alors une journaliste « afro-néerlandaise » originaire du Surinam, ex-colonie hollandaise.
Ladite journaliste affirme que ce texte ne peut être traduit par une Blanche, parce qu’elle ne saurait comprendre l’expérience historique traversée par le peuple noir… La traduction en néerlandais doit être réalisée par une personne de couleur noire!
Marieke Lucas Rijneveld et son éditeur abdiquent face à ce diktat du racialement correct. C’est précisément ce qu’ils n’auraient en aucun cas dû faire, parce que nous n’avons pas à nous écraser face à la politique haineuse de ces albophobes, ces racistes anti-Blancs !
https://causeur.fr/marieke-lucas-reineveld-amanda-gorman-192305
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La première décision de Marine Le Pen Présidente sera l’organisation d’un référendum sur l’immigration.
Les Français l’attendent depuis 50 ans.
Euh ! Le référendum, pas Marine !
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Un référendum sur l’immigration … Ah ! La ! La ! … On n’est même pas sûr de le gagner.
À moins de le réserver aux français ayant – au moins – 4 grands-parents de nationalité française.
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LES PUISSANCES DE 2
Et dans 20 ans, 8 arrière-grands-parents français.
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Ahmad A. né en Syrie en 1999, arrivé aux US en 2002, étudiant en Ingénierie Informatique à Boulder, Colorado, fan d’arts martiaux, susceptible, cogne quand on se moque de lui.
Dix clients d’un supermarché au tapis.
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Bonsoir Maxime
L’UNEF n’est pas un syndicat au sens juridique du terme.
C’est une simple association loi de 1901.
Je suis opposé à une dissolution de l’UNEF, comme j’étais opposé à celle de génération Identitaire.
Parce que j’estime avoir le droit de pouvoir organiser des réunions avec qui je veux, en excluant qui je veux.
Et ce droit que je réclame, je ne le refuse pas à une assoce, même si je ne l’aime pas, et même si c’est l’UNEF, que j’aime encore moins.
De même que je réclame pour chacun le droit de louer un appart à qui il veut, d’embaucher qui il veut, sans avoir à rendre le moindre compte à quiconque
Parce que, les clubs fermés qui ne recrutent que sur parrainage et qui par conséquent discriminent à tour de bras, on en fait quoi ?
Et si j’organise une petite fête pour mon anniversaire, j’aurai des quotas à respecter pour les invitations ?
Par contre, je préconise une mesure simple :
Que l’état et les collectivités stoppent toutes les subventions à l’UNEF, aux autres assoces de nuisibles et aux syndicats
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Mélenchon…. Hamon… et les compagnons prennent La défense de L’UNEF dont ils sont de vrais joyaux!!
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