Un professeur d’histoire géographie a été décapité à Conflans-Sainte-Honorine, à quelques kilomètres de la capitale, pour avoir parlé de la liberté à ses élèves et leur avoir enseigné la liberté d’expression. Nous atteignons le paroxysme de la barbarie islamiste, une terreur sanguinaire à laquelle le nazisme n’a rien à envier. A travers ce crime d’une sauvagerie inouïe, c’est toute la civilisation qui est décapitée, la culture gréco-latine, chrétienne, et les principes de la liberté et de la démocratie française. Nous payons le prix de la bêtise, de la lâcheté, de l’ignominie d’une France dite « d’en haut », politique, médiatique, faussement intellectuelle qui ferme les yeux depuis trop longtemps avec complaisance sur la barbarie islamiste. Ils ont laissé le mal absolu prendre racine sur le territoire français. Les complices de cette tragédie sont tous ceux qui, depuis 2012 et le massacre d’enfants juifs dans une école de Toulouse, puis celui de Charlie hebdo et du magasin casher, puis le Bataclan, Nice, le vieux prêtre de Normandie, les deux adolescentes de la gare de Marseille, aujourd’hui ce courageux professeur d’histoire-géographie, s’emploient à excuser les tortionnaires ou relativiser l’horreur de leurs crimes. Coupables aussi les propos irresponsables sur les « mâles blancs », ou les crimes contre l’humanité » de la France coloniale, des propos qui ont tant fait pour attiser la haine de la France et de ceux qui l’incarnent et perpétuent sa culture, à l’image du professeur d’histoire-géographie. Coupables ceux qui se trompent de guerre, foulent au pied les droits de l’homme au prétexte d’une épidémie, comme don Quichotte et les moulins à vent, mais courbent l’échine face à à la terreur islamiste, en vertu des mêmes droits de l’homme, jusqu’à prôner le rapatriement des tortionnaires de daesh. Coupables enfin les brutes démagogues en tout genre ne songeant qu’à récupérer le fleuve de sang qui emporte la France comme un bouchon de liège, à des fins électoralistes. Derrière ce crime abominable, le vertigineux effondrement d’une Nation.
Maxime TANDONNET
Pour comprendre les djihadistes, les métastases du cancer mondial :
https://www.lefigaro.fr/international/attaque-dans-l-universite-de-kaboul-au-moins-25-morts-et-blesses-20201102?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3
Ce qui se passe tous les jours au Nigeria est du même tabac. Pas d école pour les filles, pas d école, hors celles islamiques…
L’ensauvagement, les zones de non droit, etc, dont on parle en France pourraient être un banal précurseur de cette phase finale de la maladie qui progresse maintenant à grands pas…
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hommage et explications demain lundi 02 novembre à l’école : j’ai tenté d’expliquer cet attentat et assassinat à mes enfants, c’est terriblement difficile. J’ai aussi relu le livre de Riss, directeur de charlie hebdo » une minute 49 secondes », il y dénonce l’esprit de collaboration de certaines élites , de certains intellectuels qui fuient dès que le danger arrive (p185), Riss et son équipe , sont des survivants et des résistants.
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A l’attention des bobos et autres bonobos qui n’auraient pas encore compris ce qui se trame depuis plusieurs (4) dizaines d’années (en fait depuis 13 siècles, avec un niveau de protection variable de nos territoires et de notre culture millenaire) :
https://www.boursier.com/actualites/reuters/la-mosquee-al-azhar-appelle-a-criminaliser-les-actes-anti-islam-248583.html
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Telematin ,le maire de Seine st Denis nous a tenu un discours réchauffé à propos de la situation .Toujours le même discours victimaire.
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je suis révolté sur le fait que ce soit un réfugié tchetchene qui ait assassiné monsieur Paty !! un réfugié que la France a aidé ! la police et les services de renseignements doivent redoubler d’efforts pour traquer ces tueurs !!
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« Barbarie islamiste »: « Barbarie islamique » eût été plus adéquat. Quiconque n’a pas compris qu’il n’y a pas de différence « fondamentale » entre islam et islamisme peut vivre dans l’espoir: sa marge de progression vers la vérité est grande.
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Elle est là, place de la République, au milieu de ses collègues. Une prof d’histoire dans la quarantaine. Elle est quelque peu défaite, apeurée, peu fière. L’Athélée la fait parler. Elle a son moment de gloire.
Elle explique ; au cours d’une sortie scolaire ( un chef-d’oeuvre du pédagogisme aéré ) elle a emmené sa classe dans la visite d’une église – un monument-vestige de l’Histoire du pays – et a provoqué un clash : plusieurs de ses élèves ont refusé d’entrer !
Depuis lors elle se tord les mains : a-t-elle commis une effroyable erreur qui pourrait avoir des conséquences dramatiques sur sa personne, sur la paix sociale, sur la République et sur certains de ses apprenants ?
Elle songe à changer d’établissement, de métier, d’habitat !
Toute enseignante qu’elle est, elle est ignorante … aucune obligation républicaine à pénétrer dans un lieu de culte !
Ainsi elle ne sait pas que Michel Charasse, fort républicain s’il en fut (!!) n’a jamais mis les pieds dans une église, même dans des circonstances officielles ; ainsi pour les obsèques de Mitterrand, il resta devant le porche tenant en laisse Baltique …. une belle marque de piété !
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le but ce n est pas de devenir comme nous
le but est de civiliser
chose devenu impossible car civiliser c est coloniser…
le conflit est ainsi inévitable car il s agit d une attaque de la raison par la déraison.
et pour passer de l un à l autre il y a trop de chemin
et la déraison n a pas le temps d attendre pour imposer sa façon de penser
…
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@zonzon
merci pour ce partage d expérience.
témoignage personnel :
dans mes nombreux périples moyens orientaux, maghrébins et africains (ici plutôt de l Ouest), aucun ressentiment ni remou de conscience à chaque fois que j ai été invité à entrer dans une mosquee, bien au contraire.
La règle de réciprocité est bien évidemment inconcevable, sauf rare exception.
La non civilisation à mon avis réside dans cette carence à la règle profondément humaine de réciprocité qui n est rien d autre que la reconnaissance de notre humanité et donc de notre solidarité.
avec les barbares la solidarité ne fonctionne que dans un seul sens, équivalent à celui du prédateur envers sa proie
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@ roturier
@Citoyen
@Sganarelle
@ Pheldge
Bien entendu nous sommes pour la « liberté d’expression ».
Il n’empêche que, plus souvent qu’à notre tour, nous avons envie de vomir !
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Euh, Zonzon, si l’on savait ce qui donne envie de vomir, on pourrait peut-être vomir de concert …, mais là ? ….. le sujet est difficile à cerner … faudrait préciser …
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