Visionnaire à sa manière, Chirac eut en tout cas trois intuitions prophétiques.
« A la fracture sociale s’ajoute aujourd’hui une distance croissante entre le peuple et ceux qui ont vocation à le représenter. Elle doit impérativement être réduite » annonçait-il avec au lendemain de son entrée à l’Elysée en 1995. Pourtant, le choix de privilégier l’adhésion de la France à l’euro, dans la continuité de la présidence Mitterrand, au prix de fortes ponctions fiscales, d’une poussée du chômage et de la précarité, fut fatal à cet engagement et à la tournure de son premier mandat, saccagé par la dissolution ratée de 1997 et cinq années de cohabitation explosive et stérile avec la gauche plurielle de Lionel Jospin. Depuis, la fracture entre la classe dirigeante et le peuple n’a jamais cessé de s’aggraver, rongeant les fondements de la démocratie française et du pacte républicain. En se détournant de son intuition première, Jacques Chirac a sans doute manqué l’occasion de donner une toute autre envergure à son premier mandat.
Jacques Chirac voyait venir le danger communautariste. Face à la crise du foulard islamique qui hantait les établissements scolaires pendant les années 1990, après dix années d’impuissance et d’indécision, il fut à l’origine de l’un des derniers grands choix stratégiques en faveur de la paix civile. Sa main n’a pas tremblé au moment d’édicter l’interdiction de tous signes religieux ostentatoires à l’école, collèges et lycées, à l’issue d’une concertation exemplaire, illustrant ce que pouvait être la politique au sens noble du terme : un choix de gouvernement en faveur de l’intérêt général, qui fait l’objet seize ans plus tard, d’un quasi-consensus. Ce geste fort et prémonitoire, n’a cependant pas suffit à infléchir le cours d’une fragmentation de la société française dans laquelle certains voient poindre le risque de tensions violentes.
Du bilan mitigé de ses douze années à la tête de l’Etat se détache pourtant un choix, devenu emblématique de sa présidence. Jacques Chirac restera, pour l’histoire, l’auteur de la dernière grande décision politique inscrite dans la tradition gaullienne d’indépendance nationale. En s’opposant frontalement à l’invasion militaire de l’Irak par les Etats-Unis de M. Bush, au printemps de 2003, le chef de l’Etat français mettait en garde ce dernier contre le danger d’une déstabilisation en cascade du Moyen-Orient. Effondrement de l’Etat irakien, généralisation d’un chaos sanglant, anéantissement de la minorité chrétienne, enchaînement de guerres civiles exterminatrices, émergence de l’Etat islamique daesh, flambée de terrorisme – dont la France fut en Europe la principale victime, afflux de réfugiés. Chirac avait raison et rarement dans l’histoire de la Ve République, depuis 1969, le destin personnel d’un président de la République ne s’est autant confondu avec celui de la France qu’en cette occasion.
Point positif: avoir reconnu et dénoncé la collaboration, les crimes, et atrocités commis par la police française lors de la dernière guerre.
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Et puis quoi encore ?
Tous les gens sensés dénoncent la collaboration et les crimes de Vichy
Chirac a rendu la France responsable des crimes de Vichy
Même Mitterrand n’avait pas osé
La France était à Londres et dans les réseaux de résistance
C’est l’Etat Français, directement sous la botte de l’occupant, qui est responsable.
Cette ignominie de Chirac est une forfaiture !
Parce que, si Vichy c’est la France, alors de Gaulle est juste un officier félon et les résistants sont des traîtres et des terroristes
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VOUS aller en faire sourire beaucoup,, ,CHIRAC de droite ,,NON ,,il était de tout bord ,sauf de notre droite ,s’allier a Mitterrand ne le gênais pas ,il nous a tous trahie ,comme le Sarkozy ,qui na pas respecté le NON du référendum ,et ses casseroles ,ses trahisons ,Repose en paix ,comme notre Boulin, saurons nous enfin la vérité ,après le décès de ce triste président ,,,
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Bonjour à vous
Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien
Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche,
il me fait reposer.
Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l’honneur de son nom.
Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.
Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.
Grâce et bonheur m’accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j’habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
Psaume 22
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Tant mieux, il faut effectivement prier pour lui car il en a bien besoin là où il est aujourd’hui. Après s’être opposé à une loi morale s’imposant à la loi civile (Cf. sa déclaration absurde de 1995), il va être compliqué que le Seigneur le reconnaisse parmi les siens.
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C’était un animal politique, avec ses forces et ses faiblesses. Il avait l’avantage d’être éminemment sympathique, un épicurien dans lequel de nombreux Français se retrouvaient. Désormais, il appartient à l’Histoire de juger ses actes politiques. En tout cas, c’est l’un des tout derniers monuments du gaullisme qui s’en est allé.
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Très juste;
L’heure est au recueillement et au respect et non aux jugements mesquins partisans et autres règlements de compte dès après sa mort.
Qu’il repose en paix !
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Bonjour Timéli, plutôt du chiraquisme,https://www.contrepoints.org/2019/09/29/354550-le-chiraquisme-en-politique-etrangere-posture-ou-pragmatisme, Bonne journée.
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Bonjour Timéli, plutôt du chiracquisme, https://www.contrepoints.org/2019/09/29/354550-le-chiraquisme-en-politique-etrangere-posture-ou-pragmatisme, Bonne journée.
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Chirac, gaulliste ?
Je pouffe
Il a eu deux réminiscences de gaullisme dans sa carrière
– la reprise des essais nucléaires à Mururoa en 1995
– le refus de suivre Bush en Irak en 2003, même si les motivations véritables demeurent floues.
Le reste n’est que trahison du gaullisme, dont
– le bombardement de la Serbie en 1999
– le Oui au traité de Maastricht en 1992
– le oui au traité d’Amsterdam en 1997
– l’acceptation de la cohabitation en 1997 (et celle de 1986)
– la non démission après le référendum de 2005 sur le TCE
@ Mary Preud’homme
Bien sûr que l’on a le droit de dire du mal d’un ancien président qui fut l’un des fossoyeurs de la France.
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J’allais oublier la reconnaissance de la culpabilité de la France dans les crimes de Vichy.
Mongénéral a dû faire des bonds dans sa tombe
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Bonsoir Maxime
Je me contenterai de citer Marie-France Garaud
« Je croyais que Chirac était du marbre dont on fait les statues. En réalité il est de la faïence dont on fait les bidets. »
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C’est une phrase brillante écrite par une femme brillante. Et peut-être due à une relation politique ( et intime?) ratée entre elle et lui? A-t- elle été vraiment mieux que lui?
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Chirac qui par ses manœuvres a rendu possible l’élection de MITTERAND, a par ce fait été le pire homme politique de la deuxième moitié du XXe siècle, car l’effondrement est entièrement le fait des deux septennats de MITTERAND. Mais non content d’avoir été à l’origine de cette victoire inattendue de MITTERAND, il a lui-même durant ses deux septennats été l’un des plus mauvais président de la république, ne faisant rien et par ses quelques décisions hasardeuses engendrant des dégâts supplémentaires.
Ci-après un bilan assez exhaustif des catastrophes chiraquienne :https://www.lesalonbeige.fr/jacques-chirac-le-plus-detestable-et-le-plus-nocif-des-presidents-de-la-ve-republique/
http://cerclearistote.com/2019/09/reaction-dun-trentenaire-patriote-a-la-mort-du-president-chirac/
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Bonjour Maxime,
effectivement ce sont trois temps forts de la Présidence de Chirac. Vous positivez et c’est tout à votre honneur.
Je ne peux néanmoins ne pas réagir à l’adoption du Principe de précaution (Michel Barnier) dans la constitution Française. Chirac sous l’influence de Hulot déjà, a ouvert tout grand la porte d’entrée à la décroissance de notre pays. Aujourd’hui cet article de notre constitution n’est utilisé que par l’écologie profonde décroissante, au mépris de la science, la vraie qui résiste encore à l’idéologie.
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« au mépris de la science, la vraie qui résiste encore à l’idéologie. »
Plutôt de la glyphoscience….
Quant au principe de précaution, il est loin d’avoir ouvert la porte à la décroissance…à moins d’appeler décroissance l’interdiction de pulvériser du glyphosate à moins de 5 mêtres d’une habitation.
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Mouais, je ne vous rejoins pas Maxime.
Pour ma part, je considère Chirac comme l’archétype du politicien, près à tout les renoncements et trahisons qui ne m’inspirent aucun respect. Je ne m’associe pas à ce deuil national à la mémoire très courte.
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Requiescat in pace ! Laissons à l’Histoire le soin de juger de son action.
Me revient en mémoire le beau poème de Baudelaire, dans « Les fleurs du mal » :
DE PROFUNDIS CLAMAVI,
J’implore ta pitié, Toi, l’unique que j’aime,
Du fond du gouffre obscur où mon coeur est tombé,
C’est un univers morne à l’horizon plombé,
Où nagent dans la nuit l’horreur et le blasphème ;
Un soleil sans chaleur plane au dessus six mois,
Et les six autres mois la nuit couvre la terre ;
C’est un pays plus nu que la terre polaire ;
Ni bêtes, ni ruisseaux, ni verdure, ni bois !
Or il n’est pas d’horreur au monde qui surpasse
La froide cruauté de ce soleil de glace
Et cette immense nuit semblable au vieux Chaos ;
Je jalouse le sort des plus vils animaux
Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide,
Tant l’écheveau du temps lentement se dévide ! »
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Citons aussi sa fameuse formule : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs ».
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En s’opposant frontalement à l’invasion militaire de l’Irak par les Etats-Unis de M. Bush, au printemps de 2003
C’est vrai ce fut un beau geste.
Mais sur l’ensemble de ses deux mandats c’est bien peu.
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Monsieur Tandonnet,
Comme je trouve que vous passez un peu vite sur « son premier mandat, saccagé par la dissolution de 1997 », j’aimerais vous renvoyer à un petit livre de Charles Millon, paru en 2002, intitulé : « Lettres d’un ami impertinent à Jacques Chirac », où dans une lettre datée du 4 août 1998, il demande :
« … quel rapport étrange entretenez-vous avec la droite ? De la droite, Monsieur le Président, vous connaissez les hommes, vous adoptez parfois les idées, mais pourtant vous n’aimez pas qu’on vous dise de droite…
…Qu’a fait la droite pendant toutes ces années ? La seule chose qu’elle sache encore faire : la politique politicienne… En fait, la droite avait renoncé à la politique. Ou plutôt elle se contentait de placer ses hommes, de trouver des relais, mais en évitant, surtout, de se revendiquer pour ce qu’elle est.
Alors les Français se sont éloignés d’elle… Personne n’a semblé y prêter attention…
C’est cela que vous avez changé… en mai 1995, vous avez rassemblé la droite… Elle pouvait afficher ses valeurs de liberté, de responsabilité et de respect de la personne…
En mai 1995, vous avez rendu un fier service à la droite. Vous lui avez fait prendre conscience qu’elle existait. Vous l’avez réveillée…
Vous l’avez laissée au milieu du gué en acceptant de cohabiter…
Vous avez cru que la droite aurait à votre encontre un réflexe légitimiste, que puisqu’elle était de droite, son soutien vous était acquis et il valait mieux séduire la gauche. Voilà votre erreur…
Suffrage marginalisé, détourné, singé, mais aussi suffrage humilié…L’expertise est à la mode…La République est en train de changer de commanditaire…
Faites attention, Monsieur le Président, vous risquez de perdre la droite. »
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Mais Chirac n’était pas de droite ? il était pour ceux qui lui faisait les yeux doux,,,
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Chirac ne mérite pas le panégyrique que toute la presse mainstream fait de lui, masquant ainsi les discussions sur la loi bioéthique, la réforme (avortée) des retraites et les erreurs ou échecs du successeur de Chirac.
Son action au gouvernement fut inconstante, inutile et largement nuisible et ses deux septennats perdus pour la réforme en profondeur de la France. Il a détruit toute l’œuvre du gaullisme en ayant le culot, lui digne successeur du petit père Queuille, de se réclamer du général De Gaulle. Sa seule décision intelligente fut le refus de la seconde guerre du golfe. Le reste est à mettre à son passif : Il fut le grand artisan, avec son prédécesseur Mitterand, du déclin de la France.
Tant que la France rendra les honneurs à ce genre de funambule, son destin sera scellé.
Et le pitoyable Macron saute sur l’occasion pour une commémoration de plus. Le spectacle de la politique d’aujourd’hui est ridicule, lamentable, répugnant et attristant
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Jacques Chirac
L’ÈRE DE LA HAINE DE SOI
Je n’oublie pas que Chirac fut un président médiocre qui laissa la France dans une situation très délicate . J’ai la rancune tenace.
Je n’ai envers cet homme ni gratitude, ni compassion.
Il fut au gaullisme ce que Mitterrand fut au socialisme. Opportuniste par excellence, sans convictions. Il a contribué à faire dériver le gaullisme en « une sorte d’Euro-libéralisme plat et désarticulé » (Arnaud Teyssier).
Félix FAURE, dans l’exercice de sa fonction, étant passé des bras d’une belle à trépas (qu’elle belle mort !), Clemenceau s’exclama que cela ne fera pas un homme de moins.
La sentence conviendra assez bien après la disparition du « grand Jacques » et je prétends pourtant que Félix FAURE fut un meilleur président.
Je n’oublie pas « l’Appel des quarante-trois », du nom d’un manifeste signé par 43 parlementaires, à l’initiative de CHIRAC, afin de contrer la candidature de CHABAN-DELMAS (gaulliste social) à l’élection présidentielle de 1974 et de favoriser celle de GISCARD, le représentant du « ventre mou » de la France.
Je n’oublie pas, en 2001, son refus d’aider SEGUIN (gaulliste social) dans sa candidature à la mairie de Paris, soutenant ainsi implicitement TIBÉRI et contribuant finalement à l’élection de tata DELANOË.
Je n’oublie pas le minable profiteur : à peine a-t-il acquis le Chateau de Bity, à Sarran , en Corrèze, qu’il profite de sa situation de Secrétaire d’Etat à l’Economie et aux Finances (!) pour le faire classer à l’inventaire des Monuments historiques afin de déduire de ses revenus les frais de restauration de sa propriété (Le Canard Enchaîne du 12 janvier 1971)); en outre, il n’aura jamais de scrupule à vivre dans l’appartement de 391 m2, Quai Voltaire, qu’un ancien premier ministre Libanais lui prêta gracieusement ; je n’oublie pas les privilèges dont il a profité ( comme tous les anciens présidents) sans rechigner.
Je passe sur l’histoire, lamentable, du terrain de cinq hectares jouxtant sa propriété de Bity, acheté à prix d’or… aux frais de la ville de Paris pour éviter qu’un centre de vacances ne s’y installe et préserver sa tranquillité ! (Le Canard Enchaîné du 1e aout 2001)
Que tout cela me semble loin de l’éthique gaulliste !
Je n’oublie pas l’énergie, la ruse, la persévérance déployées pour conquérir le pouvoir et en arriver à ne pas savoir quoi en faire… sinon vider la fonction présidentielle de sa substance en abdiquant des pans entiers de sa dimension effective et symbolique.
« DE GAULLE fut l’homme du Refus ; CHIRAC celui qui a dissout. » Je ne sais plus qui a dit cela mais comme c’était bien dit !
Je n’oublie pas la fin de règne calamiteuse, les concessions à la repentance, la démagogie avec l’islam par trouille des banlieues, les misérables petites capitulation devant les minorités, faisant des Français des esclavagistes (comme si ils en avaient l’exclusivité), des colonialistes, des collabos, des tortionnaires (en Algérie) au nom d’un prétendu « devoir de mémoire » et la honteuse reculade sur la Loi relative au « rôle positif de la colonisation » pour apaiser le courroux de l’Algérie : publiée le 23 février 2005, elle fut abrogée un an plus tard sur les instances de Chirac.
Chirac inaugura l’ère de la haine de soi.
Je n’oublie pas non plus – et surtout pas ! – la mort de Robert BOULIN (gaulliste social), retrouvé mort, au bord d’une mare, dans cinquante centimètres d’eau, le visage couvert d’hématomes avec plusieurs fractures.
A qui le crime pouvait-il servir ?
Il n’avait fallu qu’à peine deux heures après la découverte du corps pour que la thèse du « suicide » fut mise en place et pratiquement bouclée…
Teyssier rappelle que, à la grande indignation de Séguin, il avait fait retirer, à la demande du gouvernement canadien, un timbre célébrant « Vive le Québec libre ! » (De Gaulle 1969. L’autre révolution – A. Teyssier).
À quel moment rencontre-t-on le « gaulliste » ?
Tracy LA ROSIÈRE – 27/09/2019
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Il faut lire évidemment: « De Gaulle est l’homme qui a dit non, Chirac est l’homme qui a dissout » …
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Bravo et merci pour cet indispensable rappel !
Tout comme ceux des commentateurs qui vous suivent (ou vous précédent…).
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PAIX A SON AME,, ,bizarrement ,rien sur ses défaut,, ,ses décisions scabreuses , Président médiocre ,,triste fin,
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Bonjour à toutes et à tous,
Depuis hier tout a été dit concernant J. Chirac, ses bonnes et ses mauvaises décisions, ses revirements, ses hésitations et sa très longue carrière politique qui réjouira les historiens.
Personnellement je ne peux m’empêcher de conserver le souvenir de l’homme qui a trahi la droite en 1981 notamment lors de son « dîner secret » chez E. Cresson avec F. Mitterrand avec les conséquences catastrophiques que cela a entrainées pour la France et que l’on continue de payer aujourd’hui. Tout cela pour mieux préparer sa carrière politique….
Et puis on ne peut pas oublier non plus ses douze longues années à l’Elysée pendant lesquelles la France à piétiné, l’époque « des rois fainéants » !
Qu’il repose maintenant en paix.
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